Smart
En primeur du Salon de Pékin, Smart dévoile son concept #5, un SUV de taille moyenne qui devrait être aussi à l’aise sur route qu’en dehors.
Régulièrement considérée comme la plus belle voiture au monde, la Jaguar Type E intrigue toujours aujourd’hui, en dépit des 72.584 exemplaires produits entre 1961 et 1975. Levons le voile sur dix faits de son histoire…
1. Elle est basée sur l’une des meilleure voitures de course de tous les temps
Pour développer la Type E, Jaguar s’est basé sur la Type D qui n’est jamais qu’un sport prototype qui a remporté à trois fois les 24 heures du Mans entre 1955 et 1957 ! Partant de cette base, Jaguar ne pouvait pas se tromper… L’étude du modèle a débuté dès 1957.
2. L’une des voitures du salon fût acheminée par la route en 11 heures !
C’est une histoire absolument invraisemblable, reflet d’une époque révolue. Présentée le 15 mars 1961 au bord du lac Léman, la veille du salon de Genève, la Type E connût un succès invraisemblable ! Jaguar décide alors d’acheminer une deuxième voiture sur le stand. Ils font alors appel à Norman Dewis, le pilote d’essai de la marque et ils lui demandent d’amener une voiture par la route. De Coventry à Genève, on compte environ 1.000 kilomètres que Norman dévalera à une vitesse insensée pour être à temps à l’ouverture du salon. Une fois arrivé sur le continent, il réalisa une moyenne de 110 km/h, ce qui correspond quasiment à la vitesse maximale d’une voiture moyenne de l’époque. Détail d’importance : les autoroutes n’existaient pas à l’époque ! Voilà en tous cas, une preuve évidente des qualités dynamiques de la Type E.
Si les pays francophones ont « francisé » le nom en Type E, la Jaguar s’appelle « E-Type » partout ailleurs… Sauf aux Etats-Unis où les Américains l’appelaient « XKE ».
La Jaguar n’était pas seulement une belle voiture, mais elle était également une bonne voiture ! La partie technique était d’ailleurs avant-gardiste : 4 freins à disques, suspensions indépendantes à 4 amortisseurs télescopiques à l’arrière, freins montés « inboard » contre le différentiel arrière, caisse autoporteuse avec un faux châssis pour supporter le moteur à l’avant, moteur à double arbre à cames en tête…
Si ses performances la classaient parmi les voitures les plus performantes de son époque (240 km/h et 7 secondes au 0 à 100 km/h), la Type E était très largement moins chère que ces dernières, parfois jusqu’à 2 fois !
Après la présentation de la Type E à Genève, « Il commendatore » avoua que la Type E était « la plus belle voiture au monde ».
Si la fiche technique de la Type E laissait rêveur à sa sortie, elle n’en était pas moins desservie par une antique boîte « Moss » extrêmement lente. Ce n’est qu’en octobre 1964, lorsque le moteur fût réalésé de 3,8 à 4,2 litres que Jaguar remplaça la boîte Moss par une boîte Jaguar, toujours à 4 rapports, mais incomparablement plus maniable. Curieusement, la Type E ne fût jamais proposée avec une boîte à 5 rapports (sauf pour les dernières Lightweight), ni même avec un overdrive. En revanche, une boîte automatique à 3 rapports fût également proposée à partir de 1966 sur le modèle 2+2.
8. Avec les années, elle perdait en finesse et en puissance…
L’arrivée du moteur de 4,2 litres fin 1964 n’apportait aucun cheval supplémentaire, mais un couple plus copieux à bas régimes. En Californie, de nouvelles normes ont imposé l’usage de nouveaux carburateurs, ce qui a fait baisser la puissance de 265 à 170 chevaux… En combinaison avec la boîte automatique, les performances n’avaient donc plus rien de leur éclat d’antan. De plus, toujours pour répondre aux normes américaines, la Type E dût revoir son look, avec des phares plus imposants (1967, Série 1 ½), puis avec des entrées d’air plus grandes, des feux élargis, un habitacle plus chargé en plastique (1968, Série 2)…
9. …Avant d’accueillir un moteur qui la transforma en dragster !
Enfin, en 1971, si la Type E perd définitivement sa finesse initiale avec une immense calandre, elle gagne en revanche un V12 de 5,3 litres, tout en aluminium. Ce moteur permet à la Type E de retrouver sa forme et bien plus encore ! Prompt à grimper dans les tours, ce moteurs de près de 280 chevaux procuraient des accélérations très viriles à la Type E !
10. Aujourd’hui encore, elle est dérivée en de nouveaux modèles
Outre les carrosseries « Coupé », « Cabriolet » et « 2+2 », la Type E fût également déclinée en une authentique voiture de course, la « Lightweight » (1963-1964), à la carrosserie en aluminium et au moteur poussé à 300 chevaux. Sur les 18 modèles initialement prévus, seuls 12 virent le jour. En 2014, Jaguar a décidé de continuer la lignée, en produisant les 6 exemplaires restants aux mêmes spécifications. Parmi les autres dérivés de Type E, notons également la « Lowdrag », une voiture très profilée destinée à la course et réalisée en 1962. En 2017, un exemplaire 100 % électrique fût également présenté, la Type E Zéro. Enfin, sachez encore que le spécialiste « Eagle » s’est spécialisé dans la transformation de Type E, avec ses « Speedster » et « Low Drag GT ».
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