Citroen
Tout comme sa petite sœur, ce nouveau Citroën C3 Aircross sera disponible en version thermique et hybride, mais également 100 % électrique !
La célèbre maison Bonhams a organisé ce week-end du 5 février une vente aux enchères réservées à des véhicules pour le moins prestigieux. Parmi quelques pièces exceptionnelles, le lot 324 méritait toute l’attention du visiteur belge : il s’agissait ni plus ni moins, de l’Aston Martin DB2/4 de 1955, ayant appartenu en première main à Sa Majesté le Roi Baudouin !
En 1955, acheter une Aston Martin était incontestablement un acte de bon goût et réservé à des connaisseurs qui en avaient les moyens ! Les choses n’ont pas beaucoup changé me direz-vous… Mais revenons à ce début des années 50 : Aston Martin n’avait pas la renommée d’aujourd’hui (James Bond n’existait que dans les livres et roulait en Bentley) et la production était des plus confidentielles ! Il faut dire que la DB2 était affichée à un prix très largement supérieure à la Jaguar XK120, pourtant plus puissante, plus cossue et plus… élégante ! Toutefois, sur la route, l’Aston lui était supérieure, de par son excellente tenue de route et ses commandes plus agréables. Un choix de connaisseur donc, ce que notre Roi fût certainement !
En fin connaisseur, le Roi Baudouin a donc porté son dévolu sur cette DB2/4 à moteur Vantage. Ce moteur, un 6 cylindres en ligne à double arbre à cames en tête, affiche une cylindrée de 3 litres pour une puissance d’environ 140 chevaux. Dessinée par W.O. Bentley, cette mécanique se caractérisait par sa promptitude à grimper dans les tours et son splendide feulement rauque. Le tout était accouplé à une boîte à 4 vitesses, produite par David Brown, alors propriétaire d’Aston Martin. La voiture fût livrée dans les mêmes teintes qu’aujourd’hui, à savoir en rouge Imperial Crimson avec intérieur en cuir beige Connolly. Le Roi Baudouin et son frère cadet, le futur Roi Albert II, prirent livraison de la voiture à l’ambassade de Belgique à Paris. L’Aston était alors en plaques diplomatiques françaises, probablement pour des raisons de sécurité. Totalement restaurée, la voiture est aujourd’hui dans un état impeccable. Un modèle « anonyme » est estimé à une cote comprise entre 100.000 et 150.000 €. Vu son pedigree, celle-ci a pu quasiment prétendre au triple, étant adjugée à 333.500 €, frais inclus.
Ce ne fût pas là la seule monture sportive du Roi Baudouin, qui en posséda bien d’autres, dont notamment une Porsche Spyder, semblable à celle qui partagea le funeste destin de James Dean. Sa Majesté était également un grand amateur de Maserati.
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