5 faits insolites sur la Renault Twingo I

Elle est arrivée sur le marché en 1993 et elle a révolutionné son segment. Adulée par certains, détestée par d’autres, la Renault Twingo réinventait l’automobile. Alors que la première génération commence à intéresser certains collectionneurs, nous vous dévoilons 5 de ses secrets…
  • Christiaens  Jean-Francois Christiaens Jean-Francois
  • 17 avril 2020
  • Divers

1. Un nom qui danse !

Le nom Twingo se veut définitivement jeune, car il est une contraction des mots « twist », « swing » et « tango »…

2. Un moteur vieux comme le monde

Il faut bien l’avouer, la Twingo misait surtout sur sa fonctionnalité pour séduire. Les performances, elles, passaient au second plan. Sous le capot, le moteur choisi était le « Cléon-Fonte », dévoilé pour la première fois sur la Floride S de… 1962 ! Sous le capot de la Twingo, il développait 60 chevaux.

3. Quatre couleurs qui pétillent !

Lancer une voiture sans proposer de gris, de blanc ou de noir ? C’est quasiment impensable aujourd’hui et… ça l’était tout autant à l’époque ! Lors de son lancement, Renault ne proposait toutefois que le jaune, le rouge, le bleu et le vert…

4. L’Allemagne n’aimait pas son capot

Trop court, d’apparence trop peu sécuritaire, le capot de la Twingo I n’a pas séduit tous les marchés. C’est la raison pour laquelle la Twingo deuxième du nom a rallongé le sien !

5. Sans le pied !

Avant l’arrivée de la boîte automatique (à 3 rapports), la Twingo proposait déjà une alternative à ceux qui n’aiment pas trop manipuler la pédale de gauche : la « Easy ». Il n’est pas ici question d’un automatisme complet, mais simplement d’un embrayage piloté. La voiture conserve son levier de vitesses et ses 5 rapports que le conducteur doit toujours actionner. Mais un calculateur se charge de piloter l’embrayage lors des démarrages et des changements de vitesses.

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Christiaens  Jean-Francois
À propos de l'auteur : Christiaens Jean-Francois Jean-François Christiaens est journaliste automobile depuis 2005. Passionné par tout ce qui roule, il prend autant de plaisir à découvrir une voiture électrique que de rouler dans une hypercar. Mais son cœur penche tout de même plutôt vers l’univers des petites bombinettes héritières de l’ère GTI. Quoique dorénavant, un bon break confortable ne le laisserait pas indifférent. C’est ça, vieillir ?

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