Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Ils sont jeunes, ils sont talentueux et ils ont la passion de la course. Eux ? Ce sont les 24 candidats retenus par Abarth Benelux. Ce samedi 7 septembre, ils s’affrontaient sur la piste et devant la caméra, bénéficiant des conseils d’expert de leur parrain, Didier de Radiguès. Seuls quatre d’entre eux furent retenus.
Il n’y a pas que le pilotage dans la vie…
Deux manches de qualifications, suivies de deux finales ont permis de désigner les plus fins pilotes de ces 24 candidats. Mais d’excellentes prestations derrière le volant ne suffisent pas à justifier un vol direct pour l’Italie ! En effet, chaque candidat fût interviewé pour jauger son dynamisme, sa passion, son attitude et son petit grain de folie qui le mettra bien en cadre avec l’esprit de la marque Abarth.
Un programme bien chargé
Ces quatre concurrents sélectionnés partiront trois jours à Varano, en Italie, pour un véritable boot camp où ils rejoindront 24 autres candidats européens. Trois jours intensifs où ils seront poussés à bout ! Sept seulement seront sélectionnés et participeront à une course du Trofeo Abarth pour déterminer le meilleur.
Un couple parmi les candidats !
Parmi les 24 candidats, on retrouve… un couple ! Quentin Verhoest (25 ans) et Emilie Lefebvre (24 ans) ont fait du karting, une passion commune ! Quentin nous raconte : « Mon père roulait en karting en tant qu’amateur et m’a transmis cette passion, même si aujourd’hui je roule mieux que lui ! ». Emilie enchaine : « Nous sommes en couple depuis 7 ans et si au début j’allais le supporter, il a fini par me mettre la pression, il y a deux ou trois ans, pour que je prenne le volant. Aujourd’hui, on fait des courses d’endurance ensemble ! Je l’ai rejoint dans sa passion au point qu’à la dernière course, j’y ai été toute seule ! ». Quentin, excellent troisième au classement final, reprend : « Mon rêve, c’est de me retrouver derrière le volant d’une voiture de course. Mais comme je n’ai pas d’argent, j’entends devenir mécano spécialisé en sports moteurs. ». Emilie rajoute, l’œil complice : « Ainsi il pourra approcher les voitures de course et qui sait, il pourra peut-être ne serait-ce que les déplacer ! ».
C’est dans leurs gènes !
Cette passion pour l’automobile, elle trouve généralement sa naissance dès la plus tendre enfance, comme le confirme Antoine Baucher, 20 ans : « J’ai suivi une école de pilotage de kart dès ma plus jeune enfance ! ». Spencer Maniet, superbe deuxième, témoigne lui aussi : « Mon père et moi sommes de grands passionnés. Depuis tout petit, j’ai toujours aimé conduire ! L’année passée, j’ai participé à l’Abarth Make It Your Race, mais j’ai échoué de peu… Je retente ma chance cette année-ci ! ».
Quant au gagnant de la course, Bjorn Vermeulen, 23 ans, il a lui aussi des gènes prédestinés : « Il y a bien des années, mon père a fait du rallye. La course, c’est dans mon sang. Il y a 8 ans environ, il m’a proposé de faire du karting… J’ai adoré ! Depuis mes 18 ans, je suis un passionné d’automobiles et si je n’ai jamais couru en voiture de course, j’ai petit-à-petit grimpé les échelons jusqu’à faire de la compétition karting dans le cadre du championnat Belkart. Pour moi, ceci est une excellente expérience, ça ne peut être que positif ! »
Seul Redlef Cornelis, 25 ans, a pris cette passion un peu au vol : « À mes 18 ans, durant mes vacances en Espagne, j’ai fait du karting… Depuis, c’est devenu un hobby parmi beaucoup d’autres ! Mais un hobby très cher… Ce serait sympa de pouvoir en vivre plutôt que de payer pour rouler ! ».
