Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Ce sont là, deux des plus beaux cabriolets de ce début des années 1960. Toutes les deux sont issues de nobles firmes qui ont peaufiné leurs mécaniques en compétition ! Toutes deux sont estimées à plus d’un million d’euros. Et les points communs ne s’arrêtent pas là : d’une livrée grise avec intérieur rouge toutes les deux, elles développent 240 chevaux sur leurs roues arrière, sont rarissimes et se présentent dans un état irréprochable… Allez, pour vous décider, nous vous les présentons dans le détail !
Aston Martin DB4 Série 5 Cabriolet
Non, elle ne s’appelle pas « Volante », l’appellation habituellement destinée aux cabriolets Aston Martin et qui ne débutera qu’avec la DB6, quelques années plus tard. Cette ultime série de la DB4 profite de toutes les évolutions du modèle et ne s’est déclinée en version cabriolet qu’en 70 exemplaires ! Autant dire qu’il s’agit là, de l’une des plus rares Aston Martin de route jamais produites.
Ferrari 250 GT Cabriolet
Ce cabriolet 250 GT est également issu de la dernière série du modèle. Un peu plus courante que l’Aston, elle ne fût toutefois produite qu’à 201 exemplaires. Celui-ci, le 33ème produit, fût livré neuf à un certain Angelo Moratti, un magnat italien du pétrole. Dessinée par un Pininfarina assez conservateur, elle présente une robe d’un grand classicisme, peut-être plus encore que la robe de l’Anglaise, dessinée quant à elle par Touring, le plus anglais des carrosseries transalpins !
Mécanique
Une puissance identique les réunit : 240 chevaux. Mais cette cavalerie, sans doute assez optimiste, est délivrée de manière fort différente. L’Italienne s’en remet à un V12 tout alliage, signé par Colombo. Si la mécanique manque d’un peu de couple sous les 3.000 tr/min, elle s’envole par la suite jusqu’à 7.000 tr/min dans une tessiture cristalline unique !
Face aux miaulements de l’Italienne, l’Anglaise répond par un vrombissement sourd. Elle, en revanche, ne manque pas de couple sous 3.000 tr/min ! Si elle ne compte que la moitié des cylindres (6 en ligne), elle profite d’un double arbre à cames et d’une plus copieuse cylindrée : 3,7 litres. Une mécanique qui livre le meilleur d’elle-même à mi-régimes !
En revanche, dans les deux cas, la transmission est identique : propulsion et boîte à 4 vitesses et overdrive, soit surmultiplicateur dans la langue de Molière. Le freinage également d’ailleurs : 4 freins à disque pour tout le monde ! Denrée rare à l’époque…
Alors, laquelle ?
Préférez-vous la noblesse suggérée de l’Anglaise ou le panache lyrique de l’Italienne ? Bon à savoir, la première offre deux minuscules places supplémentaires et est estimée aux alentours de 1,2 million d’euros. Pour profiter des charmes de la belle Ferrari, comptez environ 300.000 € supplémentaires.
