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Le constructeur est à la recherche d’un partenaire industriel pour produire la prochaine génération de sa biplace électrique.
Avec la V8 Vantage, Aston possède un élégant ticket d’entrée dans sa gamme ! Elégant, mais quelque peu vieilli, car la « baby Aston » a déjà quelques années dans les bielles. Armés d’un bistouri et d’une clé à molette, les ingénieurs se sont mis en tête de rajeunir la chose…
Discrètes modifications
D’accord, elle est sublime. Mais son style racé et musclé s’est vite calqué sur les autres produits de la marque ! Vous avez dit « déjà-vu » ? Et il faut bien admettre que l’on attendait des modifications esthétiques plus tranchées qu’un simple pare-chocs retaillé et un diffuseur arrière. Des détails de style, mais qui permettent au moteur et aux freins de mieux refroidir…
C’est dans la boîte !
Le V8 de 4.7 l et 420 chevaux reste inchangé. Mais où sont donc les modifications, me direz-vous ? Partout ailleurs ! Freins plus costauds, direction plus directe, pneus plus larges et, surtout, nouvelle boîte de vitesses automatique ! Cette dernière est reprise de la Vantage S (qui a d’ailleurs servi de source d’inspiration pour les autres modifications) et compte sept rapports ! Apparemment, on y gagne méchamment au change, avec des passages de vitesses plus raffinés et des rapports plus serrés.
Les autres modèles…
La Vantage S et ses 430 chevaux est toujours au catalogue, mais n’évolue pas. Pour les intégristes du cylindre, ceux qui considèrent qu’une Aston se doit d’avoir autant de cylindres que d’apôtres, la V12 Vantage reste un morceau de choix, avec ses 510 chevaux !
