Opel
Opel renouvelle son SUV amiral Grandland pour 2024. Cette nouvelle génération s’offre de nombreuses premières pour la marque au blitz. Des innovations lumineuses. Mais aussi électriques avec une autonomie de 700 km.
TVR Speed 6
L’artisan britannique TVR n’a jamais été particulièrement réputé pour la fiabilité de ses produits. Tant que les voitures étaient animées par le brillant V8 Rover, les coûts en garantie étaient encore supportables. Mais lorsqu’il se décida de développer son propre moteur, un 6 cylindres en ligne à très haute puissance spécifique, ce fût la ruine ! Espérer plus de 30.000 km sans réfection est un vrai challenge, avec cette unité…
Oldsmobile 350 diesel
Entre les Américains et le moteur diesel, le moins que l’on puisse dire, c’est que ce n’est pas une longue histoire d’amour. D’ailleurs, lorsque Oldsmobile développa un V8 diesel comme alternative plus « économique » aux traditionnels V8 essence, ce fût une catastrophe. Aussi peu fiable que performant, ce moteur gâcha l’image du diesel aux Etats-Unis pendant les décennies suivantes.
Facel Vega Facellia 4 cylindres
Prestigieuse marque française dans les années 50 et 60, Facel Vega était au début de son histoire, principalement réputé pour ses grosses GT à moteur V8 Chrysler. Voulant élargir sa gamme, le Français décida de dériver une version 4 cylindres. Mais pas avec n’importe quel moteur ! Développé par la firme Pont-à-Mousson, ce moteur affichait une ambitieuse fiche technique avec ses deux arbres à cames en tête. En pratique, le moteur était peu agréable à l’usage et cassait à tout bout de champs !
Cadillac V8-6-4
L’idée originelle n’était pas mauvaise : en pleine crise énergétique, Cadillac présente un V8 avant-gardiste capable de tourner sur 6 ou 4 cylindres à faible charge. Hélas, le fonctionnement erratique et des problèmes de pression d’huile mettront rapidement un terme à cette idée, peut-être trop avant-gardiste…
Triumph Stag V8
Désirant envahir le marché américain, Triumph développe un cabriolet à 4 places. Mais très curieusement, plutôt que de se tourner vers l’un de ses excellents 6 cylindres ou vers le V8 Rover qu’il avait à disposition, le Britannique décide de développer son propre moteur V8 en associant deux 4 cylindres ensemble. Le résultat fût un bricolage en constante surchauffe…
