Après
les 5 secrets des Citroën
2 CV, Fiat
Nuova 500, Mini
classique, VW Golf , Porsche
911, Ferrari
250 GTO, Mercedes
300 SL, Lamborghini
Countach, Range
Rover, Renault
4, Ferrari
Testarossa, McLaren
F1, Citroën
DS, Jaguar
Type E, Volkswagen
Coccinelle, Willys
MB, Citroën
Traction, Peugeot
205, Renault
5, Lada
Niva, Mercedes
190, Fiat
Panda, Renault
4CV, Volvo
240, BMW
M1, Ford
T, Alfa
Romeo Giulietta, Peugeot
203, Mazda
MX-5, Renault
Espace, Ford
Fiesta, Renault
Dauphine et de la MGB,
continuons notre série en nous penchant cette fois sur 5 « secrets » d’une
autre icône automobile : la Peugeot 404 !
1. Un chantier lancé à cause d’une certaine DS…
Lancée au début de l’année 1955, la Peugeot 403 est un
produit typiquement sochalien. Conservatrice et gentiment bourgeoise, cette
berline n’a rien de révolutionnaire mais garantit une robustesse à toute
épreuve. Problème : quelques mois plus tard, Citroën lance sa DS. Peugeot,
bousculé par l’arrivée de cette soucoupe volante, décide de riposter…
2. Suspensions hydropneumatiques et V8 !
La suspension hydraulique de la DS n’était pas au point lors
de la présentation de cette dernière, mais elle époustoufla tout le monde. Au
point que Peugeot développa un prototype équipé d’une suspension
hydropneumatique ! Plus fort encore, le constructeur songea à une
motorisation V8 ! Le produit final fut nettement plus traditionnel, avec
des suspensions classiques et un 4 cylindres…
3. Prêt-à-porter Pininfarina
Peugeot se tourne à nouveau vers Pininfarina, qui avait
dessiné la 403, pour dessiner la 404. Mais cette fois, le constructeur français
est pressé ! Le maître italien propose alors un dessin classique, moderne
et élégant, mais déjà appliqué (dans les grandes lignes) sur les grandes
berlines Fiat. Peu importe, le temps presse, Peugeot valide !
4. Première voiture française à injection
Rapidement, Peugeot propose une version injection. Il s’agit
d’une première sur une voiture française et ce système à pompe Kugelfischer
permet de grappiller une belle poignée de chevaux. On parle de 80 chevaux DIN,
puissance qui sera augmentée d’une dizaine de chevaux par la suite. Plus
nerveuses et plus amusantes, ces versions sont aujourd’hui aussi plus délicates
à entretenir.
5. Une sacrée quantité de dérivés !
La 404 fut déclinée en coupé, en cabriolet, en
break et même en pick-up ! De la Belgique à l’Afrique du Sud, en passant
par le Pérou, l’Australie et même… Madagascar, les breaks et pick-up 404 furent
assemblés aux 4 coins du monde !
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À propos de l'auteur : Christiaens Jean-Francois
Jean-François Christiaens est journaliste automobile depuis 2005. Passionné par tout ce qui roule, il prend autant de plaisir à découvrir une voiture électrique que de rouler dans une hypercar.
Mais son cœur penche tout de même plutôt vers l’univers des petites bombinettes héritières de l’ère GTI. Quoique dorénavant, un bon break confortable ne le laisserait pas indifférent. C’est ça, vieillir ?