BMW
En prime d’un look rafraichi, la BMW i4 gagne une nouvelle motorisation xDrive40 forte de 295 kW (401 ch) et 548 km d’autonomie à l’occasion de ce facelift.
Reposant sur la nouvelle plateforme, la Mini Cabriolet gagne donc une belle poignée de centimètres par rapport à sa devancière. Aujourd’hui, elle culmine à 3,82 m de long (3,85 pour la Cooper S) ! Avantage de la formule, une meilleure habitabilité et un coffre plus généreux, avec ici un volume annoncé à 215 litres. Bon, d’accord, ce n’est toujours pas le Pérou, mais c’est nettement mieux qu’avant.
La capote
A l’instar des générations précédentes, la nouvelle Mini Cabrio se couvre d’une capote souple. Les manœuvres de (dé)capotage sont entièrement électriques et ne réclament que 18 secondes. L’opération peut également être effectuée en roulant, mais à une vitesse inférieure à 30 km/h. Bon à savoir pour les indécis : le système propose également une ouverture intermédiaire. Enfin, sachez que Mini annonce avoir particulièrement travaillé l’insonorisation de ce couvre-chef.
Versions
A l’occasion de ce lancement, la Mini Cabrio n’est proposée qu’en trois différentes versions : en essence, Mini propose les Cooper (3 cylindres, 1.5 l, 136 ch) et Cooper S (4 cylindres, 2 l, 192 ch). En diesel, l’offre est pour l’instant réduite à la seule Cooper D (3 cyl, 1.5 l, 116 ch). Toutes ces motorisations sont proposées en boîte manuelle ou automatique.
Kitsch, disions-nous !
Au rayon de l’équipement, on retrouve des dispositifs peu courants à ce niveau de gamme : phares LED directionnels, régulateur de vitesse adaptatif, alerte collision piéton, système multimédia connecté… Mais là où la Mini se démarque, c’est bien entendu au rayon personnalisation, avec une palette de couleurs vives, des stickers à gogo, une capote qui peut arborer l’Union Jack (le drapeau anglais, oui, oui !) et même, une projection du logo Mini sur le sol, lors du déverrouillage !
