Lancé en 2016, l’Ateca a permis à Seat de retrouver un nouvel
élan sur le segment des SUV. Avec son petit frère Arona et
son grand frère Tarraco, l’Ateca permet d’ailleurs dorénavant à Seat de réaliser
44 % de ses ventes totales avec la silhouette d’un SUV. Pour son nouveau millésime 2020,
l’Ateca bénéficie de la nouvelle signature esthétique de Seat étrennée par la
récente Leon. Une nouvelle signature au sens propre d’ailleurs puisque l’Ateca
affiche dorénavant aussi son nom en calligraphie manuelle sur le bas de son hayon arrière. L’allure lumineuse de l’Ateca évolue
aussi avec l’apparition de nouveaux phares full LED, tant à l’avant qu’à l’arrière.
La nouvelle identité lumineuse de Seat se poursuit à bord avec
l’éclairage d’ambiance multicolore. Plusieurs équipements font également leur
apparition au catalogue à l'occasion de ce facelift, comme un volant chauffant ou une aide à la conduite
semi-autonome Travel Assist, par exemple.
L’écran central de l’infodivertissement voit dans la foulée sa
taille grimper à 8,25 voire 9,2 pouces tout en intégrant un système de commandes
vocales plus évolué s’activant via les mots « Hola Hola ». Cet écran
central se combine au cockpit numérique s’étirant, quant à lui, sur une
diagonale de 10,25 pouces et présentant une « interface améliorée ».
Pas de chance pour les clients qui espéraient
voir arriver une mécanique hybride ou hybride rechargeable sous le capot de l’Ateca
comme sur sa récente sœur Leon. Ce n’est visiblement pas (encore) prévu. Seat
annonce seulement la présence de trois moteurs à essence (1.0 TSI 110 ; 1.5
TSI 150 et 2.0 TSI 190) et un bloc 2.0 l diesel décliné en 115 ou 150 ch sur son
Ateca millésime 2020.
À propos de l'auteur : Christiaens Jean-Francois
Jean-François Christiaens est journaliste automobile depuis 2005. Passionné par tout ce qui roule, il prend autant de plaisir à découvrir une voiture électrique que de rouler dans une hypercar.
Mais son cœur penche tout de même plutôt vers l’univers des petites bombinettes héritières de l’ère GTI. Quoique dorénavant, un bon break confortable ne le laisserait pas indifférent. C’est ça, vieillir ?