Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Attention, le serpent venimeux est de retour ! La plus féroce des voitures de sport de ces dernières années renaît au salon de New York. Si la sauvagerie semble être toujours de mise, elle réussit cependant à s’assagir sur certains points…
SRT
« Street and Racing Technology », soit SRT. C’est via cette abréviation qu’il s’agira de désormais appeler la Viper. Le nom change, mais la philosophie est intacte : un énorme moteur, des échappements latéraux, une carrosserie provocante et des performances extrêmes…
Une gueule d’enfer…
Du côté du style, la Viper affiche toujours une agressivité démoniaque. C’est voulu, la Viper, c’est viril et ça transforme les employés de bureaux en véritable Rambo ! Et puis il y a ces échappements démonstratifs au possible !
Un moteur d’enfer !
Sous le capot, on retrouve une bonne vieille connaissance ! A savoir, le gargantuesque V10 de 8,4 litres de cylindrée ! Avec de pareilles gamelles, la chose n’est pas avare en puissance, ni en couple : 640 chevaux et plus de 800 Nm de couple ! D’accord, on connaît plus raffiné, plus moderne, mais rarement aussi copieux ! D’ailleurs, il s’agit du plus gros moteur actuellement en série… La boîte de vitesses manuelle compte 6 rapports.
Aseptisée ?
A première vue, on aurait du mal à la considérer comme un produit affadi face aux dernières générations. Pourtant, SRT annonce un habitacle soigné à l’équipement complet et, surtout, en grande première sur une Viper, un antipatinage doublé d’un contrôle de stabilité électronique (ESP) ! Bigre, si la Viper devient conduisible par le commun des mortels, où allons-nous ?
