Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Aujourd’hui, nous pouvons globalement admettre qu’il n’existe plus de voitures dangereuses. Les épures modernes de suspensions rendent les voitures très sûres sur les routes… Mais cela n’a pas toujours été le cas ! Si l’idée d’un essieu arrière « volage » vous effraye, méfiez-vous dès lors de ces 5 voitures réputées comme délicates à conduire !
Notez toutefois qu’avec les pneus actuels, les limites d’adhérence sont largement repoussées et atténuent grandement les effets indésirables des trains arrière réputés comme volages de ces cinq modèles…
C’est un mythe et probablement, la plus connue et la plus recherchée des Mercedes. Pourtant, le comportement routier des coupés est assez piégeur, avec un essieu arrière oscillant. Si Mercedes a retenu cette solution pour davantage de confort, elle interdisait néanmoins tout « lever de pied » en virage ! Le cabriolet corrigea le tir.
La Triumph GT6 a longtemps été considérée comme la « Jaguar Type E du pauvre » : un long capot, un arrière de type « fastback », des roues arrière motrices et un 6 cylindres en ligne à l’avant ! Les premières versions pêchaient par un train arrière simplifié : le carrossage des roues très largement variable pouvait amener à des situations rocambolesques en cas de lever de pied brutal ! Dès la MK2, le train arrière sera revu pour davantage de stabilité.
Ralph Nader, célèbre avocat américain dénué de permis de conduire, lâcha une bombe dans les années 60 avec « Unsafe at any speed ». Ce livre détaillait notamment comment la Chevrolet Corvair pouvait devenir dangereuse, avec son moteur flat-six et son essieu arrière volage. Un jugement parfois considéré comme « injuste » par certains propriétaires. Ici encore, et à l’instar des voitures précédentes, une conduite brutale et inadaptée peut avoir de lourdes conséquences…
La première Porsche 911 Turbo était régulièrement considérée comme une « faiseuse de veuve ». Une appellation largement exagérée, selon certains, parfois justifiée pour d’autres. Toujours est-il que la combinaison des deux roues arrière motrices et d’un temps de réponse assez colossal du turbo assorti à un non moins colossal « coup de pied aux fesses » de ce dernier, faisait de la 930 Turbo une voiture délicate à conduire vite sous la pluie !
Il faut admirer le culot de la direction de Renault à l’aube du 21ème siècle, pour avoir permis ce délire automobile : prenez une Clio, enlevez-lui la banquette arrière et remplacez-la par un V6 de 3 litres ! Manquant de mise au point, la partie châssis pouvait devenir piégeuse aux abords des limites : l’arrière pouvait alors brutalement décrocher. Et le rattraper était d’autant plus complexe que le rayon de braquage était limité ! La phase 2 réglera en partie ce tempérament survolté pour rendre la Clio V6 moins pointue à piloter…
Cet article vous a plu et vous souhaitez recevoir les dernières actualités automobiles directement dans votre boîte mail ? Abonnez-vous maintenant gratuitement, tout comme plus de 300.000 amateurs de voitures avant vous :
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Voilà l’explication de la croissance généreuse du SUV Countryman chez Mini lors de son changement de génération. Mini lui offre ce petit frère électrique : le crossover Aceman.
En prime d’un look rafraichi, la BMW i4 gagne une nouvelle motorisation xDrive40 forte de 295 kW (401 ch) et 548 km d’autonomie à l’occasion de ce facelift.
Ce concept de SUV 100 % électrique Volkswagen ID. Code inaugure tout un tas de nouveautés ! Mais des nouveautés destinées uniquement à la Chine…