Ce modèle ne vous dit rien ? Pourtant, l’Austin Princess a connu un relatif succès commercial au début de sa carrière, avant de tomber dans l’oubli. Voici un bref retour sur la carrière de l’un des modèles les plus mal aimés de la production britannique !

Musclée à regarder et surtout à conduire, la « Big Healey » est un phénomène qui ne sera jamais passé de mode. Cool à l’époque et toujours très en vue aujourd’hui, les Austin Healey 100 et 3000 continuent de fasciner. Retour sur les 5 secrets du modèle, produit de 1953 à 1967.

Elles, ce sont les stars ! Elles sont accueillies à bras ouverts dans tous les événements ! Les voitures des années 50 ont pour elles une incroyable joie de vivre, avec des couleurs, des formes et des solutions techniques qui ne peuvent que donner le sourire.

Citadine à prix compressé, l’Austin A30 n’en est pas moins un véritable concentré de tout ce que la perfide Albion avait à offrir dans les années 50 !  Si vous êtes à la recherche d’une voiture charismatique des années 50 à tout petit prix et facile à vivre, voilà qui pourrait vous intéresser…

On peut difficilement se tromper en affirmant qu’aujourd’hui, il n’existe plus vraiment de mauvaises voitures. Il y a 50 ans, les choses étaient toutefois fort différentes et l’Allegro fut à l’époque régulièrement qualifiée de « worst car in the world ». Une réputation qui lui colle encore aujourd’hui à la peau. Est-ce justifié ?

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le message du gouvernement britannique est clair : il faut exporter un maximum vers les Etats-Unis pour ramener de précieuses devises ! Mais cette opération séduction ne se fera pas partout avec le même succès…

En matière d’automobiles, les années 60 sont sans doute les plus excitantes. Cette époque plaçait encore la vitesse comme argument de poids alors que peu, voire aucune règle de sécurité ou de dépollution ne venaient brider le dessin de la carrosserie ou le moteur. Racées et soignées car encore largement dépourvues de plastiques, elles sont également pour la plupart, très amusantes à conduire, y compris dans la circulation actuelle.

Plus de 400.000 € ! C’est le prix payé par un amateur pour se porter acquéreur de cette très belle Austin-Healey 3000. Un prix exorbitant pour ce modèle, mais qui s’explique par l’historique pimenté de la voiture.

Il y a des jours où, franchement, je ferais mieux de me taire. Débordant d’enthousiasme, j’annonce à notre photographe fétiche notre prochain périple : un road-book en Champagne, au volant d’une monture dépourvue de tout confort décadent ! A l’ancienne, on a dit ! Pas de fenêtres, pas de clignotant, pas de toit, pas de chocolat et… même, en plein périple, sans air dans un pneu ! Gonflé, dites-vous ? C’est aussi l’avis de notre Julie nationale… Notre monture ? Une enivrante Austin Healey 100/4 de 1954 !

Après Smart et sa (très) compacte deux places, Toyota, cinquante ans après une certaine Mini, tenta en 2009 de réinventer la voiture sur trois mètres de long. De quoi enterrer l'ancêtre de (presque!) toutes les voitures modernes? Commençons par un peu d'histoire, et replongeons-nous dans les années cinquante, une époque où quelques hommes, génies éclairés, concevaient d'extraordinaires voitures (Ferdinand Porsche avec sa Volkswagen, André Lefebvre et la Citroën DS, Dante Giacosa et la Fiat 500…). Alec Issigonis était l'un de ceux là.