Mazda
Avec des roues arrière motrices et un 6 cylindres en ligne !
Avec des roues arrière motrices et un 6 cylindres en ligne !
Depuis 2012, Mazda compte cette 6 dans ses rangs. La berline classique et le break pratique semblent rester à l'abri des regards. L'an dernier, la Mazda 6 a subi un lifting discret. Nous jetons un coup d'oeil à la version au moteur le plus populaire…
Lorsque les portes du salon de Genève s'ouvriront le mois prochain, Mazda présentera une première mondiale. La Mazda 6 Wagon est en cours de renouvellement, tout comme sa variante berline.
Commercialisée à la fin 2012, la Mazda 6 est une voiture pétrie de talents. Mais la vie commerciale est parfois injuste et la belle Japonaise reste méconnue. Ayant récemment profité d’une série de mises à jour, la Mazda 6 tente une seconde fois, de nous convaincre. Pour mesurer l’étendue de ses talents, nous la comparons à l’une des références du segment : la Skoda Superb Combi.
Pour répondre aux nouvelles VW Passat et Ford Mondeo, Mazda remet sa « 6 » au goût du jour. Elle avait déjà beaucoup de qualités mais devient encore meilleure grâce à quelques ajustements ciblés, que l’on ne voit pas au premier coup d’œil.
Si modeste soit-il, Mazda a l’étoffe d’un grand constructeur. Et il nous le prouve de la plus éclatante des manières avec le retour de son nouveau vaisseau amiral, la Mazda 6. Souvent méconnue, parfois délaissée pour des rivales au logo plus prestigieux, cette berline familiale s’affirme face à une concurrence coréenne et européenne aux dents longues.
« Premium ». Un mot qui revient régulièrement dans la bouche des généralistes ! Tout le monde semble caresser l’idée de produire du haut de gamme et Mazda ne fait pas exception. La 6 devient donc de plus en plus coquette et consolide son offre supérieure, notamment en proposant la transmission intégrale.
A entendre les ingénieurs de Mazda, il n’y en a plus que pour cet esprit Zoom-Zoom, un concept qui les pousse à améliorer les performances du véhicule dans le plus grand respect possible de l’environnement. Concrètement, cela a surtout permis à la nouvelle Mazda 6 de se montrer plus légère que l’ancienne en dépit de dimensions en hausse. Voilà qui semble plutôt de bonne augure, lorsque l’on sait que la tendance actuelle est plutôt à l’embourgeoisement et à la surcharge pondérale...
Peugeot 407, BMW Série 3, Audi A4, Alfa Romeo 159,… voilà des berlines qui occupent en masse les chaussées de notre Royaume et qui se livrent une bataille sans merci sur le marché des flottes d’entreprise ! Mais si pour l’instant, ce sont principalement des voitures européennes qui occupent le haut du classement des ventes, l’offensive nippone se fait plus pressante. Dans le rôle des protagonistes, on en retrouve deux : la toute nouvelle Mazda 6 CDVi et la Subaru Legacy, qui vient tout juste d’hériter du premier boxer diesel au monde.
Certes, le 2 l diesel actuel de chez Mazda ne souffre d’aucune grosse lacune, mais face aux dernières réalisations allemandes, il apparaît tout de même à la traîne, surtout si l’on considère la question de la puissance spécifique. Une bonne raison pour développer un nouveau groupe qui sera d’ailleurs appelé à animer les CX7 et Mazda3. Voilà qui est chose faite, avec un moteur d’une cylindrée généreuse, mais disponible en différentes variantes de puissance.
En huit ans de carrière et près de 2 millions d’exemplaires vendus, la Mazda 6 a réussi à se faire une place au sein du segment des berlines familiales. La deuxième mouture connaît aujourd’hui un facelift qui la rajeunit stylistiquement, mais l’assagit sur le plan du comportement.
Pas facile de se faire une place au soleil sur le marché des berlines familiales. Entre les audacieux Coréens et les incontournables Allemands, les Japonais se voient perdus au milieu d’une offre pléthorique. Mazda a tout compris : avec sa 6, le constructeur innove et bouscule les références !
La division sportive « N » de Hyundai est-elle parvenue à rendre le SUV électrique Ioniq 5 aussi excitant qu’un véhicule thermique grâce à ses nombreux artifices, modes de conduite et fonctionnalités spécifiques ?
Suzuki a donné à sa petite Swift un tout nouveau moteur et l’a habillée d’une robe entièrement retravaillée. Et pourtant… rien ne semble avoir changé ! Bonne ou mauvaise nouvelle ?
Le facelift de l’Opel Corsa renforce les traits de famille entre cette citadine et le restant de la gamme. Est-ce cependant suffisant pour démarquer ce modèle de ses cousines de Stellantis ?
Pour lutter contre ses concurrents européens (et pour exister face à un petit frère plus stylé…), ce break sud-coréen mise sur la raison. Est-ce suffisant pour séduire ?
Première électrique de la division ultra luxueuse de Mercedes, le Maybach EQS SUV 680 coûte un minimum de 215.380 €.
Il s’agit d’une berline affichant une différence de plus de 560.000 km !
Le constructeur japonais lance un nouveau système de surveillance et de localisation.
Nous venons tout juste de nous habituer aux nouveaux noms des modèles Audi, que la marque bouleverse à nouveau sa nomenclature. Cette fois-ci, on salue l’initiative !