Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Après 5 ans de carrière, la plus petite des Hyundai, l’i10, se renouvelle. Et c’est tant mieux car le modèle actuel (tout comme sa devancière, l’Atos) n’est pas un prix de beauté. Pour la nouvelle génération, le constructeur a soigné le design, d’origine européenne.
Avec la nouvelle i10, le constructeur sud-coréen veut renforcer son ancrage européen. Le dessin, le développement et la production sont en effet assurés en Europe. En fait, 95% des Hyundai vendues sur notre continent sont développées au centre européen de la marque, situé à Rüsselsheim, en Allemagne. La nouvelle i10 est également la première petite citadine de la marque produite en Europe, à Ízmit en Turquie. Après elle, 90% des Hyundai vendues en Europe seront construites sur le continent.
Cette nouvelle génération de l’i10 repose sur une nouvelle plate-forme. Par rapport à son devancier, ce modèle s’allonge (+ 80 mm), s’élargit (+ 65 mm) et abaisse son toit (- 50 mm). Ces nouvelles proportions rendent la ligne plus élégante et dynamique. Mais comme on ne discute pas des goûts et des couleurs, on vous laissera juger de la beauté du dessin.
Pour le reste, c’est bien connu, dans le segment A, le prix et les aspects pratiques constituent des éléments importants. L’actuelle i10 était disponible à partir de 10.000 euros. On ne connaît pas encore le tarif de la nouvelle, mais on sait déjà que le modèle sera équipé de série du contrôle de stabilité et pourra disposer d’un airco automatique, d’un volant chauffant en cuir et d’un régulateur/limiteur de vitesse. Hyundai annonce encore un coffre plus volumineux (252 l) et un espace aux jambes à l’arrière plus grand que celui des concurrentes (Renault Twingo, Volkswagen up!, etc.).
