BMW
En prime d’un look rafraichi, la BMW i4 gagne une nouvelle motorisation xDrive40 forte de 295 kW (401 ch) et 548 km d’autonomie à l’occasion de ce facelift.
Surprise au Salon de Genève 1999 : pour la première fois, la déclinaison sportive dérivée de la Porsche 911 n’était pas baptisée « RS » pour RennSport, mais bien GT3. Une nouvelle appellation en référence à la catégorie GT dans laquelle les versions de compétition de ce nouveau modèle allaient évoluer.
Développée par le double champion du monde des rallyes Walter Röhrl, l’ingénieur de course Roland Kussmaul et les spécialistes de Porsche Motorsport à Weissach, la Porsche 911 GT3 de l’époque annonçait les principaux ingrédients techniques qui allaient devenir caractéristiques de ce nouveau blason jusqu’à aujourd’hui : moteur six cylindres à plat atmosphérique rageur, propulsion aux roues arrière, allégement au détriment du confort, kit aérodynamique et châssis optimisé. Sur cette première version, Porsche proposait en outre déjà en option, une variante Clubsport qui disposait d’un arceau boulonné.
Record précoce !
Avant même sa présentation officielle au salon de Genève 1999, cette Porsche 911 GT3 avait déjà conquis ses premières lettres de noblesse. Aux mains de Walter Röhrl, cette 1ère GT3 de l’histoire avait en effet déjà battu le record du tour pour une voiture de série sur le circuit du Nürburgring. La bête avait alors bouclé les 20,8 km de la Nordschleife en moins de huit minutes.
De 360 ch à 500 ch
Le 6 cylindres à plat boxer de cette 911 GT3 affichait une cylindrée de 3,6 l et développait 360 ch. Elle bénéficiait également d’un châssis abaissé de 30 mm et de freins optimisés. Sa boîte manuelle à 6 vitesses provenait, quant à elle, de la Porsche 911 GT2. Les rapports de boîte, la géométrie des essieux, les barres antiroulis et les ressorts avaient également été adaptés pour un usage sur la piste. De plus, la 911 GT3 disposait d’un aileron arrière fixe qui allait devenir une des signatures de la lignée.
