Top 5 des Roadsters anglais méconnus

Dès les années 1930, les Anglais se sont rapidement bâtis une réputation de spécialistes du roadster. Ces voitures à 2 places extrêmement minimalistes se présentaient souvent comme des assemblages empiriques (qui a dit « bricolages » ?), mais ont néanmoins réussi à séduire massivement le marché américain. Toutefois, certains modèles n’ont pas connu leur heure de gloire et restent, aujourd’hui encore, dans les limbes de l’histoire automobile.

  • Piette François
  • 06 février 2017

Lotus Elan

Dans les années 1980, Lotus voulait faire revivre le mythe de l’Elan. La première du nom, avec son moteur double arbre maison et son comportement routier de folie, a rapidement accédé au rang de mythe. Hélas, le « remake » n’aura pas la même saveur : traction avant dotée d’un moteur Isuzu, l’Elan dernière du nom n’avait pas le pedigree de son ancêtre.

Daimler SP250

Un fantastique moteur V8 à culasses hémisphériques, un châssis équilibré et une sonorité ravageuse : que fallait-il de plus pour séduire ? Une ligne séduisante, justement. Torturé et caricatural, le dessin de cette Daimler a confiné cette voiture à une production réduite : 2.645 exemplaires. Aujourd’hui, la voiture n’est toujours pas reconnue pour ses qualités.

Jensen Healey

Deux grands noms de l’artisanat automobile britannique (Healey et Jensen) collaborent pour développer une sportive digne de ce nom, en ce début des années 1970. Sous le capot, ils reprennent l’un des meilleurs moteurs de l’époque : le 4 cylindres double arbre Lotus. Aujourd’hui, le modèle reste largement méconnu, en dépit de ses indéniables qualités. A qui la faute ? Une ligne trop sage ?

TVR 3000M

TVR a toujours eu le chic pour bricoler des engins capables de performances largement supérieures aux habituelles Ferrari ou Porsche, mais au tarif bien plus réduit ! Parmi les modèles délaissés, pointons cette 3000M au moteur V6 Ford. Son, performances, ambiance et look, cette TVR en offrait beaucoup. Mais le manque de sérieux dans la fabrication a fait déserté de nombreux clients.

Sunbeam Alpine

Sur papier, tout allait bien : une ligne qui répondait aux canons esthétiques de cette fin des années 50, un moteur robuste et une capote rétractable ! Hélas, la Sunbeam Alpine n’a pas aujourd’hui la même renommée que ses concurrentes MG et Triumph. Une ligne trop féminine et des performances trop sages en sont les raisons.

À propos de l'auteur : Piette François

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