MINI
Voilà l’explication de la croissance généreuse du SUV Countryman chez Mini lors de son changement de génération. Mini lui offre ce petit frère électrique : le crossover Aceman.
Le salon de Genève est toujours l’occasion pour Koenigsegg (et ses petits camarades constructeurs de supercars) de se faire remarquer. Cette fois-ci, pas de grands chamboulements, mais quelques petits points de détails qui entretiennent la sauvagerie de l’espèce !
Koenigsegg réinvente la route, avec des jantes non pas en acier ou en aluminium, mais bien en carbone ! Seule la valve est en métal ! Voilà qui devrait épargner près de 20 kilos au total sur les masses non suspendues.
Du côté du moteur, la programmation est revue (pour répondre aux normes les plus strictes), les chemises de cylindres sont traitées via la nanotechnologie pour des frictions et donc, des valeurs de consommation en baisse et, enfin, le limiteur est relevé de 7.250 à 7.500 tr/min. De quoi assurer 20 chevaux de plus pour l’Agera (960 ch) et faire grimper la puissance de l’Agera R de 1.115 à 1.140 chevaux ! Notez bien que la première nommée se doit de carburer à l’essence 98 et la seconde, au biocarburant E85.
Pas facile de maîtriser une telle sauvagerie déboulant sur les seules roues arrière… Koenigsegg revoit donc les suspensions ainsi que les appuis aérodynamiques et impose le KES (l’ESP en Koenigsegg dans le texte).
En 14,53 secondes, l’Agera R atteint les… 300 km/h ! Et pour revenir à l’arrêt, il ne lui faut que 6,66 secondes. La vitesse de pointe est annoncée aux alentours des… 440 km/h !
Voilà l’explication de la croissance généreuse du SUV Countryman chez Mini lors de son changement de génération. Mini lui offre ce petit frère électrique : le crossover Aceman.
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