Ferrari
La remplaçante de la 812 rend hommage aux GT Ferrari des années 50 et 60 et conserve un V12 atmosphérique affichant 830 ch sans la moindre assistance électrique !
4 ans après sa première apparition, le Cybertruck a enfin atterrit dans les mains de quelques chanceux propriétaires triés sur le volet. À l’occasion de cette « remise de clés », le constructeur américain a également dévoilé la fiche technique de la version de série. Un gigantesque véhicule qui, il faut le souligner, est pratiquement identique au prototype présenté en 2019.
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Carrosserie et vitres pare-balles
Le Cybertruck mesure 5,68 m de long, 1,79 m de haut, 2,2 m de large, dispose d’une garde au sol grimpant jusqu’à 43 cm, et pèse près de 3 t ! Il est pratiquement entièrement réalisé en acier inoxydable ce qui lui permet d’être résistant aux balles. Quant à ses vitres, elles peuvent encaisser l’impact d’une balle de baseball lancée à 112 km/h, ce qu’Elon Musk s’est évidemment empressé de démontrer avec succès contrairement à ce qui s’était passé en 2019…
« Steer by wire »
À l’intérieur, on retrouve une présentation similaire à celle de la dernière Model 3, si ce n’est que tout est plus anguleux et que ses écrans sont plus grands. Son panel central atteint en effet les 18,5 pouces alors que l’affichage digital arrière est de 9,4 pouces. Son volant est également différent. Carré, il se situe entre le yoke de la Model S et un volant classique. Il dispose également d’une technologie « steer by wire » ce qui signifie qu’il n’est pas physiquement relié aux roues. Tout se fait de façon électronique. Une technologie que l’on avait déjà pu essayer à bord du Lexus RZ 450 e. Reste à voir si Tesla l’a aussi bien implémentée.
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Le Cybertruck peut tracter jusqu’à 5 t
En bon pick-up, le Cybertruck ne manque pas de coffre, ou plutôt de benne ! Cette dernière mesure 1,8 m sur 1,2 m et peut embarquer jusqu’à 1,13 t ou 1.897 l de bagages grâce à son volet à fermeture électronique et verrouillable. On y retrouve également des prises 120 et 240 V. Quant à sa capacité de remorquage, elle atteint les 5 t. À noter qu’en cas de coupure de courant, le Cybertruck peut fournir jusqu’à 11,5 kW de puissance à votre maison. Pratique. Cerise sur le gâteau, le pick-up de Tesla pourra également être équipé d’un Range Extender qui ajoute plus de 200 km d’autonomie.
Jusqu’à 547 km et 2,7 s pour atteindre 100 km/h
3 versions du Cybertruck sont disponibles : Propulsion, 4 roues motrices et Cyberbeast. La première revendique une autonomie maximale de 402 km et un 0 à 100 km/h chronométré en 6,7 s. Elle est affichée à partir de 49.890 dollars, soit 46.000 € au taux de change actuel, mais ne sera disponible qu’en 2025. La seconde peut parcourir jusqu’à 547 km par charge et atteindre 100 km/h en 4,3 s. Son tarif débute à partir de 68.890 dollars, soit l’équivalent actuel de 63.000 €. Finalement, tout en haut de la gamme, la version Cyberbeast affiche jusqu’à 515 km d’autonomie et 0 à 100 km/h abattu en seulement en 2,7 s ! De quoi battre une Porsche… En tirant une Porsche. Cette dernière variante est d’ailleurs pratiquement aussi cher qu’une Porsche puisqu’elle débute à partir de 96.390 dollars, soit 88.500 € au taux de change actuel.
Un jour en Europe ?
Mais attention, tous ces chiffres ne sont encore que des estimations de Tesla, y compris les prix. Ces derniers incluent également les primes américaines pouvant atteindre 7.500 dollars ainsi qu’une économie d’essence de 3.600 dollars sur 3 ans. Autrement dit, il débute en réalité à plus de 60.000 dollars et probablement encore un peu plus s’il débarque en Europe. Actuellement, Tesla n’a encore fait aucune annonce à ce sujet, mais le Cybertruck est bel bien apparu sur les différents sites européens du constructeur. Affaire à suivre donc…
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