BMW
En prime d’un look rafraichi, la BMW i4 gagne une nouvelle motorisation xDrive40 forte de 295 kW (401 ch) et 548 km d’autonomie à l’occasion de ce facelift.
Alors que nous voilà tout juste remis de la présentation de la première BMW i, la citadine i3, BMW lève le voile sur les caractéristiques du deuxième modèle de la famille « i », la i8 ! Cette sportive ne fait rien comme les autres et affiche une mécanique hybride rechargeable.
Silhouette agressive
Cette i8 est une vraie réussite esthétique, avec une calandre menaçante et un certain équilibre des proportions. Sous une telle ligne, on imagine aisément une mécanique à 8 cylindres ! Pourtant, on n’y trouve qu’un petit trois cylindres…
Côté mécanique
Le moteur thermique est un tout nouveau bloc : comptant trois cylindres et cubant 1,5 litre de cylindrée, ce moteur développe 231 chevaux et un couple de 320 Nm. Accouplé à une boîte automatique à 6 vitesses, il anime les roues arrière. Le moteur électrique, lui, délivre 131 chevaux pour un couple de 250 Nm. Une énergie qui se voit délivrée aux roues avant via une boîte automatique à deux étages. BMW annonce qu’aucune rupture de charge ne se fait sentir lors du changement de rapports.
Les performances
Face au chrono, cette sportive n’a pas à rougir de son manque de cylindres : la vitesse de pointe est limitée à 250 km/h, alors que le 0 à 100 km/h est balayé en 4,5 secondes. Il faut dire que BMW a réussi à maintenir la masse de ce coupé 2+2 à moins de 1,5 tonne !
L’autonomie
En mode combiné (essence et électrique), l’autonomie peut dépasser les 500 km. Sur le seul mode électrique, cette i8 peut parcourir une distance de 35 km. Les batteries au Lithium-Ion ne demandent que trois heures sur une prise classique pour être rechargées. Via le boîtier mural de la marque, le temps de recharge est alors réduit à moins de 2 heures.
Amortissement piloté
La i8, ce n’est pas qu’un moteur car BMW a également fignolé les liaisons au sol. On en veut pour preuve la répartition du couple, variant entre les essieux avant et arrière, à l’entrée des virages pour une meilleure agilité. L’amortissement adaptatif est, quant à lui, de série.
