Hyundai
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la Hyundai Ioniq 5 nous a fait (très) forte impression lors de son essai et ce notamment grâce à 5 détails que l’on a adorés !
Ces « youngtimers » sont aujourd’hui à mi-chemin entre le marché de l’occasion et celui de la collection. Une chose est sûre : leur valeur ne va pas rester aussi basse très longtemps et il est grand temps de se pencher sur leur cas !
Lancia Thema 8.32
Une base de Fiat Croma, une allure carrée au possible, mais un cœur d’or, directement pioché dans la banque d’organes de… Ferrari ! En effet, cette Lancia s’anime via un V8 de 3 litres à 32 soupapes (d’où son nom), délivrant entre 205 et 215 chevaux. Certes calmé par rapport à sa monture habituelle, la Ferrari 308, il n’en reste pas moins suffisamment violent que pour malmener les deux roues avant motrices !
Maserati BiTurbo
Ne vous fiez surtout pas à la ligne anodine : le trident agressif de la calandre et le blason biturbo rappellent que la mécanique joue une partition pour le moins turbulente ! Le V6 sous le capot est le premier moteur de série à double suralimentation de l’histoire. Selon la version, il cube entre 2 litres et 2,8 litres et délivre sa cavalerie (de 185 à 280 ch) brutalement et sans préavis ! A ne pas mettre entre toutes les mains, que ce soit à l’entretien ou à la conduite.
Opel Omega Lotus
Sage routière familiale sans aucune prétention sportive, l’Opel Omega se transforme en une véritable furie lorsque Lotus chipote aux entrailles ! Sous le capot, l’artisan britannique a réussi à installer un 6 cylindres en ligne, à double turbo et développant près de 380 chevaux ! Le look devient forcément plus agressif, mais sans en faire des tonnes pour autant… Et pourtant, à l’époque, c’était une tueuse de Porsche ! Attention : modèle rare, cher et compliqué à entretenir.
Mercedes 500 E
Face à la concurrence ci-dessus et à celle, toujours embarrassante, de la BMW M5, Mercedes ne pouvait rester les bras croisés. Le géant allemand fait donc appel à… Porsche et lance une version épicée de sa W124, jusque-là surtout connue pour les variantes taxi ! Un V8 de 5 litres et 326 chevaux est installé sous le capot, le châssis est peaufiné et l’ensemble donne l’une des plus formidables berlines sportives des années 90.
Rover 75 V8
Sans doute l’une des voitures les plus invraisemblables de l’histoire. Née sous l’ère BMW pour plaire aux « tempes grisonnantes », la Rover 75 faisait surtout l’éloge du confort et du bien-être. Pour le sport, il fallait s’en référer à la variante MG ZT, sorte de mutant bodybuildé basé sur la Rover 75 ! Et le summum en la matière, c’était la version V8, qui transforme la pataude traction avant en une propulsion joueuse et au moteur chipé à… une Ford Mustang ! Mais pour qui cette démonstration de muscle passait pour vulgaire, il était possible d’opter pour l’emballage Rover. Pièce rare !
