BMW
En prime d’un look rafraichi, la BMW i4 gagne une nouvelle motorisation xDrive40 forte de 295 kW (401 ch) et 548 km d’autonomie à l’occasion de ce facelift.
1. V6 Maserati
Lorsque Citroën rachète Maserati à la fin des années 60, il commissionne l’étude d’une nouvelle mécanique à 6 cylindres. Développé en un temps record, ce V6 est un V8 amputé de 2 cylindres. L’angle de 90 degrés n’est pas idéal, mais surtout, la chose se montre délicate au niveau de sa distribution !
Au début des années 80, Maserati, alors sous tutelle de Tomaso, reprend cette mécanique en version 2 litres, la modifie profondément et, première mondiale, lui greffe deux turbos ! Le résultat est aussi sauvage que… fragile et la marque mettra des années à fiabiliser cette mécanique !
2. V6 PRV
C’est le seul moteur de cette liste à faire preuve d’une grande robustesse ! Au moins, il faut lui reconnaître. Mais que lui reproche-t-on alors ? Un fonctionnement rugueux (angle de 90 degrés), un gros penchant pour la boisson, une sonorité rarement enthousiasmante et une puissance spécifique décevante. Si tout cela reste tolérable sur les grosses berlines, ça l’est nettement moins sur une… De Lorean !
3. V6 Diesel Oldsmobile
Fin des années 1970, le diesel commence à séduire les constructeurs américains par sa frugalité. Oldsmobile lance la conception de deux moteurs, un V6 et un V8, tous deux peu brillants. Le V6, cubant 4,3 litres, peine à sortir ses… 85 chevaux et souffre de la mauvaise qualité du diesel de l’époque. Les pannes à répétition terniront beaucoup l’image de la marque !
4. V6 Ford Vulcan
C’est ce V6 que l’on retrouve sous le capot de la Probe de première génération. La ligne aguicheuse de ce coupé ne doit cependant pas vous faire croire à des miracles : cubant 3 litres, ce moteur n’arrivera jamais à sortir plus de… 155 chevaux !
5. V6 GM LE2
