Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
De la Fiat 500 première du nom, on a tous le souvenir visuel d’un petit pot de yaourt souriant, mais aussi, celui auditif d’un ronflement vaguement pétaradant et définitivement rageur dans ses montées en régimes ! Et ça, c’est le petit 2 cylindres à refroidissement par air qui en était responsable. Et voilà que pour la petite nouvelle 500, Fiat ressuscite le 2 cylindres à essence, mais dans une variante éco qui fait spectaculairement baisser les émissions et la consommation.
Multi-Air
Reprenant la technologie Multi-Air (gestion électro-hydraulique de l’ouverture des soupapes, sans papillon) des nouveaux 4 cylindres 1.4 l, ce nouveau petit 2 cylindres a vu ses entrailles et sa gestion peaufinées à l’extrême pour limiter les pertes. Au final, Fiat promet des réductions d’émissions de CO2 pouvant atteindre 30 % par rapport à un moteur de même puissance. Question raffinement, ce moteur ne devrait pas se montrer plus vibrant ou plus bruyant qu'un 4 cylindres traditionnel : il s'équipe par ailleurs d'un contre-arbre équilibreur.
Costaud, quand même !
Dans cette première variante, ce bicylindre cube 900 cm³ et affiche 85 chevaux grâce à son turbo. D’autres versions à la puissance comprise entre 65 et 105 chevaux suivront. Fiat annonce pour le premier nommé, des émissions de 95 g/km, ce qui est tout simplement un record pour une voiture essence de ce segment ! Et le bilan pourrait s’améliorer encore : la compacité de ce moteur permet une installation aisée d’un module électrique pour un groupe motopropulseur hybride.
