Hyundai Coupé : lifting sportif

  • Piette François
  • 10 novembre 2004
La Hyundai aux allures sportives a eu droit récemment à un lifting et à l’introduction de l’ESP. Le Coupé a profité d’une cure de jouvence qui se limite en fait à quelques subtiles adaptations. Styling & Design Les modifications d’ordre esthétique se situent surtout à l’extérieur de la voiture. Le coupé arbore ainsi de nouveaux blocs de feux arrière et prises d’air latérales. Mais ce que l’on remarque avant tout c’est le nouveau museau. En effet, les phares sont désormais en verre mat et avec une double optique. De plus, de petits feux antibrouillard trouvent à présent leur place dans un bouclier avant entièrement redessiné, avec une prise d’air plus importante. À l’exception de la version de base, tous les modèles sont équipés de jantes en aluminium (17 pouces à partir du FX ‘S’). Le modèle deux litres et le 2.7 V6 ont conservé leur double échappement. J’veux du cuir À l’intérieur, on peut dorénavant opter pour des sièges partiellement recouverts de cuir. Cette combinaison de cuir et d’étoffe (prévue de série sur les versions Tuscani et FX) veut accentuer encore le caractère sportif qui est celui du Coupé. Ce côté sport est également relevé par des accents en aluminium appliqués sur les bouches d’air, le manchon du levier de vitesses et les portières. Sur les versions entièrement cuir (prévu de série sur les 2.0 FX ‘S’ et V6 FX ‘S’), les surpiqûres sont réalisées dans une teinte contrastée. Le nombre de places n’a pas changé et le Coupé est donc toujours un 2+2 à part entière avec banquette arrière rabattable prévue de série. Les mêmes moteurs, mais avec l’ESP Pas de grosses nouveautés sur le plan technique. On trouve le même choix de trois moteurs essence. Sur le moteur quatre cylindres de 1,6 litre, un double arbre à cames en tête actionne les 16 soupapes. Développant 105 ch, il est lié de série à une boîte manuelle à cinq vitesses (tempo 100 en 11,9 s). Le moteur CVVT 2 L compte lui aussi 16 soupapes, mais avec variation de calage de l’arbre à cames. Ce moteur développe 143 ch et est livrable au choix avec une boîte manuelle à cinq rapports (tempo 100 en 9,3 s) ou avec une transmission automatique séquentielle Shifttronic à quatre rapports (tempo 100 en 10,6 s). La version haut de gamme est toujours le 2.7 V6 24V de 167 ch avec une boîte à six vitesses standard (tempo 100 en 8,3 s). Ici aussi, la transmission automatique séquentielle Shifttronic à quatre rapports est prévue en option (tempo 100 en 8,6 s). La nouveauté concerne l’introduction de l’ESP. Ce Programme de Stabilisation Electronique est proposé en option sur le 2.0 FX, mais fait également partie de l’équipement de série des 2.0 FX ‘S’ et 2.7 V6 FX ‘S’. En choisissant l’ESP on a aussi droit en plus à un système antidérapage et au BAS (Brake Asyst System). Quatre niveaux d’équipement et prix compétitif Le catalogue propose quatre niveaux d’équipement et trois boîtes de vitesse. Cela donne donc au total 8 combinaisons possibles pour ce Coupé. L’équipement de série du Coupé lifté propose notamment 4 freins à disques avec ABS, 2 airbags, des prétenseurs de ceintures, un volant réglable en hauteur, des rétroviseurs et des vitres électriques, le verrouillage centralisé des portes, une banquette arrière rabattable, des feux antibrouillard avant et des boucliers dans la couleur de la carrosserie. À partir de la version Tuscani, on trouve la climatisation manuelle, les jantes aluminium et les sièges cuir/tissu. La FX a droit en prime à un double échappement chromé et à trois instruments supplémentaires sur la console centrale (mesures de la consommation, du couple et des volts). En si on se laisse charmer par le FX ‘S’, on profite alors de l’ESP de sérié, d’un intérieur 100 % cuir, d’une climatisation automatique avec “Air Quality System” (position de recirculation automatique), de jantes 17 pouces, du régulateur de vitesse et de sièges chauffants. Enfin, fidèle à la tradition coréenne, Hyundai a tenu à proposer des prix compétitifs. Le modèle 1.6 de base affiche 17.699 euros, contre 26.999 euros pour le 2.7 V6 FX ‘S’. © Olivier Duquesne

Source : Hyundai
À propos de l'auteur : Piette François

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