Audi
Nos espions ont surpris des Audi A6 e-tron équipées d’imposants disques et étriers de frein ainsi que d’ailes élargies qui semblent l’indiquer…
Décidément, c’est la valse des séries spéciales chez les Supercars ! Après Porsche qui n’en finit pas de décliner sa 911 à toutes les sauces, Lamborghini emboîte le pas en présentant cette série spéciale de la Gallardo !
Robe italienne, cœur germanique
Quand Lamborghini s’est retrouvé dans le giron d’Audi, bien de nos confrères se sont insurgés contre la germanisation progressive d’une officine pourtant intrinsèquement transalpine. La qualité et la rigueur ont en effet gagné du terrain sur le folklore engendré par la passion à l’état brut ! Pourtant, Stephan Winkelmann, le charismatique CEO de la firme, tente par tous les moyens de faire oublier cette omniprésence germanique ! Alors d’abord, il y a l’allure du bonhomme. Inimitable : costumes impeccablement taillés, teint hâlé, sourire charmeur, il a tout ce qu’il faut pour brouiller les pistes ! Mais son nom ramène à la réalité : il est bel et bien teuton !
La Gallardo, c’est pareil : avec cette série spéciale qui double les teintes, cette ligne latine et cette sonorité ensorcelante, on pourrait vite se laisser persuader qu’il s’agit d’un produit 100 % italien… Mais détrompez-vous : le cœur de la bête, un rugissant V10 de 560 chevaux, est bel et bien tudesque, à l’instar de certaines commandes intérieures, chipées à quelques Audi. La viabilité de l’usine passe par là…
Le cosmétique
Cette série spéciale se concentre uniquement sur le côté cosmétique : le toit sera d’office noir, mais vous pourrez choisir la couleur du reste entre : Giallo (jaune) Midas, Arancio (orange) Borealis, Grigio (gris) Telesto, Bianco (blanc) Monocerus et Blu (bleu) Caelum. Dans l’habitacle, la sombre finition est contrastée avec les surpiqûres rappelant la couleur extérieure.
