Tesla
La nouvelle Model Y Grande Autonomie Propulsion affiche jusqu’à 600 km d’autonomie pour un prix de départ de 49.970 €, soit le meilleur rapport prix/autonomie de toutes les Tesla !
Le dénominateur commun entre ces deux exemplaires, c’est une légende de la F1, l’un des meilleurs pilotes de l’histoire, à en croire Jacky Stewart, Ayrton Senna et… Juan-Manuel Fangio : Jim Clark, un pilote modeste et quasiment oublié aujourd’hui. Cet Ecossais, fils de fermier et né en 1936, a marqué l’histoire de son talent : en 72 participations en Grand-Prix, Clark aura remporté 25 victoires et 2 titres de champion du monde.
Un palmarès auquel il faut rajouter une victoire aux 500 miles d’Indianapolis, 3 titres de champion de Formule Tasmane, un titre de champion BTCC, un titre de champion de Grande-Bretagne de Formule 3 et même une 3ème place aux 24 heures du Mans ! Ce qui est sidérant, c’est que ce palmarès fut bâti en… 8 ans à peine : en 1968, lors d’une course de petite importance à Hockenheim, en Allemagne, Jim Clark perdit le contrôle de sa voiture à cause d’un crevaison et fut expédié dans les arbres. Le 7 avril 1968, le sport automobile perdit l’un de ses plus grands champions.
Lotus Cortina 1964
Ou, plus exactement, Ford Cortina Lotus. Cette voiture, proposée par le spécialiste britannique Fiskens et immatriculée BJH 417B, a permis à Jim Clark de remporter trois victoires au général et huit victoires de classe au cours de la saison 1964, remportant ainsi le championnat. A son bord, Clark étourdissait la foule avec ses passages sur 3 roues, pour gagner quelques précieux centimètres de tarmac dans les virages ! De tels résultats ont eu un impact non négligeable sur les ventes de Ford Cortina et l’image de Lotus !
Lotus Elan 1962
L’autre Lotus, également proposée par Fiskens, n’est autre qu’une Elan de présérie qui fut livrée à Jim Clark pour ses déplacements personnels. Il la conserva pendant un an et… 24.000 km, après quoi elle fut livrée à son mentor, Ian Scott Watson. C’est d’ailleurs cet exemplaire qui servit à une célèbre publicité de la marque, où l’on voyait le champion assis sur l’aile avant, expliquant qu’il conduisait sa voiture par plaisir et non par devoir (« I drive my Lotus Elan for pleasure, not because I have to »).
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