BMW
En prime d’un look rafraichi, la BMW i4 gagne une nouvelle motorisation xDrive40 forte de 295 kW (401 ch) et 548 km d’autonomie à l’occasion de ce facelift.
Jaguar XKSS (1956)
Contrairement aux autres voitures de cette liste, la XKSS n’avait pas pour objectif l’homologation d’une voiture de course. Non, à vrai dire, il s’agissait plutôt d’un… recyclage ! A la fin de la saison 1956, la marque décide en effet de se retirer de la compétition et recycle les châssis inutilisés de la Type D, la voiture de course, afin de les rendre utilisables sur la route. Un pare-brise, une capote et deux sièges en cuir plus tard, voilà la XKSS ! La marque voulait produire 25 voitures, mais 9 châssis ont péri dans l’incendie de l’usine en 1957. En 2016, le Britannique décide de relancer la production des voitures manquantes…
Alfa Romeo Tipo 33 Stradale (1967)
Directement dérivée de la voiture de course, la Tipo 33 Stradale est sans doute l’une des plus belles voitures de tous les temps… Mais aussi l’une des plus radicales, avec son V8 atmosphérique de seulement 2 litres, délivrant 230 chevaux dans un hurlement grisant à près de 9.000 tr/min ! Un véritable ovni produit en seulement 18 exemplaires.
Porsche GT1 Strassenversion (1996)
Quand Porsche décide de courir en catégorie GT1, il prend le problème à l’endroit : contrairement aux Ferrari F40 et McLaren F1 qui étaient des voitures de route adaptées à la compétition, celle-ci est une voiture destinée dès le début à la course ! La version de route embarque un flat-six de près de 550 chevaux !
Mercedes CLK GTR (1997)
Encore plus recherchée que la Porsche ci-dessus, la Mercedes CLK GTR Strassenversion est une véritable brute, embarquant un V12 de 612 chevaux et promettant un 0 à 100 km/h en 3,4 secondes… Radicale, la CLK GTR fût déclinée en une version Roadster et même en « SuperSport », au V12 poussé à… 720 chevaux !
Maserati MC12 (2004)
