Bugatti
La remplaçante de la Chiron a été surprise pour la première fois sous un camouflage pour le moins coloré.
En présentant sa toute nouvelle Classe S, Mercedes a remis tout le monde d’accord en s’autoproclamant maître des limousines. Pas facile de lui faire de l’ombre, mais Audi y croit et donne un petit coup de frais à l’A8 !
La plus sportive de toutes ?
Jadis, le rôle de la limousine sportive était tenu par la BMW Série 7. Désormais, c’est Audi qui reprend cette fonction, avec une A8 entièrement en aluminium, très légère et aux alluresde grosse berline de sport. En parlant des dimensions, mentionnons les 13 cm de gagnés sur l’empattement et la longueur, par la version Longue. L’A8 « classique » reste inchangée.
Un style qui évolue peu, mais des phares révolutionnaires
Côté style, il n'y a rien de bien neuf à signaler, hormis les quelques petites modifications de la partie avant et du bouclier arrière. Toutefois, le gros changement se situe au niveau des phares avant : la technologie « Matrix » réunit pas moins de 25 diodes LED par phare. L’intensité de celles-ci peut varier en fonction des conditions de conduite (repérées par capteurs et via les infos GPS) pour éclairer au mieux la route.
De 258 à 520 chevaux
La palette des moteurs propose deux diesels : V6 3.0 TDI de 258 chevaux et V8 4.2 TDI de 385 chevaux. En essence, la gamme est plutôt développée : on démarre avec une variante hybride (moteur électrique et 2.0 TFSI) de 245 chevaux, on enchaîne avec les V6 3.0 TFSI (310 chevaux) et V8 4.0 TFSI (435 chevaux) pour culminer avec le W12 de 500 chevaux et le V8 biturbo de la S8, aux 520 chevaux.
Les aides à la conduite
Histoire de se remettre à niveau, Audi s’est penché sur les assistances à la conduite. Au programme, on retrouve l’ « Active Lane Assist » qui remet l’engin dans le droit chemin si le véhicule dévie de sa bande, l’assistance au parking, la vision à 360 degrés, le régulateur de vitesse adaptatif avec fonction « Stop & Go »…
