Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Framing John DeLorean, tel est le titre du documentaire qui retracera la vie trépidante de cet homme d’affaires hors du commun. Ce dernier a vécu une vie marquée par l’argent, le pouvoir, la drogue, les scandales et, bien entendu, les voitures ! Un candidat idéal pour les scénaristes hollywoodiens !
Le début de carrière de John DeLorean chez General Motors fut fulgurant. C’est notamment à lui que l’on doit la sulfureuse Pontiac GTO à la fin des années 60. En 1973, il quitte GM pour fonder sa propre marque, DeLorean Motor. Il s’installe alors au Royaume-Uni et, grâce à un lobbyisme très actif auprès du gouvernement britannique, obtient de généreux financements publics. Mais DeLorean Motor rencontre très vite des problèmes, dont d’importants retards de production doublés d’écueils financiers. Le seul modèle lancé par le constructeur, la DMC-12 fut un fiasco industriel. L’engin fut néanmoins au centre de l’aventure de la trilogie Back to the future, ce qui a malgré tout concouru à lui offrir une renommée internationale.
Une fin de carrière très trouble
Acculé, DeLorean a besoin de trouver rapidement de l'argent. Il se retrouve alors pris au piège dans une enquête fédérale visant des trafiquants de drogue. Arrêté en 1982, il est accusé d’avoir conspiré dans un trafic de cocaïne. Finalement acquitté, ce scandale a eu un impact dévastateur sur l’industriel et sa société finit par faire faillite.
Le film sortira en salles début juin, et c'est Alec Baldwin qui enfilera le trois-pièces de John DeLorean.
