Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Organisée à l’initiative de nos confrères d’outre-Manche, cette élection réunit de nombreux journalistes du monde entier. Et comme pour les années précédentes, c’est BMW qui glane le plus de points.
Pour les moteurs cubant moins de 1.000 cm³, c’est le trois cylindres Toyota (Aygo, Yaris, Justy,…) qui a été élu pour la deuxième année consécutive. Pour ceux d’une cylindrée comprise entre 1 l et 1.4 l, c’est le 1.4 TFSI de VW qui occupe la première marche du podium, depuis trois années. Entre 1.4 l et 1.8 l, les journalistes ont voté le 1.6 l turbo issu du partenariat BMW et PSA (et qui équipe les Mini Cooper S, 207 RC,…). Pour la quatrième année consécutive, le 2.0 TFSI de VW remporte la catégorie des moteurs compris entre 1.8 l et 2.0 l. Entre 2.0 l et 2.5 l, c’est le nippon Subaru qui remporte le prix, avec son 4 cylindres boxer suralimenté de 2.5 l. Pour les catégories supérieures, c’est le bavarois BMW qui récolte toutes les palmes : son 3 l Twin Turbo pour les 2.5 l à 3 l, son V8 4l pour les 3 l à 4 l et, enfin, le V10 de 5 l des M5/M6 pour les moteurs d’une cylindrée supérieure à 4 l.
Restent enfin les titres plus spécifiques, comme celui du moteur le plus « écolo », attribué au 1.5 l de la Toyota Prius, celui du meilleur nouveau moteur (au 2.0 l diesel de la BMW 123d) et celui du moteur à hautes performances (flat-six Porsche suralimenté de 3.6 l des 911 Turbo et GT2). Enfin, le titre global du meilleur moteur de l’année a été décerné pour la deuxième année consécutive au 3 l Twin Turbo des BMW 135i, 335i et X6.
