Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Toyota a débuté le développement d’un véhicule électrique à pile à combustible dès le début des années 1990. Un travail qui a mené au lancement de la première Toyota à hydrogène de série. C’était en 2014, avec la première génération de Mirai. En cette fin 2020, sa remplaçante, la Mirai II, arrive.
La Mirai se présente toujours sous la forme d’une longue berline de près de 5 mètres. Il faut bien caser tous ses organes techniques ! Mais la grande Japonaise soigne dorénavant sa plastique et opte pour un style plus fuyant (sa hauteur totale diminue de 6,5 cm), plus sportif et plus consensuel.
Cette nouvelle Mirai se campe sur la grande plateforme modulaire GA-L de Toyota. Elle en profite pour intégrer différemment sa technologie hydrogène. La pile à combustible migre ainsi depuis l’arrière de l’habitacle vers le compartiment moteur. Ce qui permet à cette Mirai II de devenir une voiture à 5 places contre seulement 4 pour sa devancière.
La deuxième Mirai du nom embarque trois réservoirs d’hydrogène. Ils sont positionnés en « T » : le plus long est installé dans le sens longitudinal, sous le plancher, tandis que les deux plus petits viennent se placer perpendiculairement. L’un sous les sièges arrière et l’autre sous le compartiment à bagages. La précédente génération de Mirai ne pouvait embarquer que 4,6 kg d’hydrogène.
Conséquence directe : la Mirai II promet un rayon d’action direct plus important. Profitant aussi d’une chaine cinématique au rendement amélioré, la Mirai II promet 30 % d’autonomie en plus que sa devancière. Soit 650 km entre deux pleins. Cela tombe bien… Car les pompes délivrant de l’hydrogène restent pour le moment des denrées rares !
Même si elle fabrique elle-même sa propre électricité à partir d’hydrogène, la Mirai n’en reste pas moins une voiture électrique. Elle est animée par un moteur électrique de 128 kW, soit 174 ch. Une cavalerie « modeste » pour une limousine de 1.950 kg. La Mirai accélère de 0 à 100 km/h en 9,2 s.
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