MINI
Voilà l’explication de la croissance généreuse du SUV Countryman chez Mini lors de son changement de génération. Mini lui offre ce petit frère électrique : le crossover Aceman.
Star du rock, érigée au rang d’icône, voire de Dieu vivant pour certains, Johnny était sans conteste l’une des figures francophones les plus connues. Décédé tôt ce matin, Johnny laissera une grande trace de son passage… Connu pour son grand amour des mécaniques, Johnny a possédé une très belle liste de bolides : nous avons retenu les 15 modèles les plus emblématiques !
C’est sa première voiture, qu’il a eue avant ses 18 ans. Avec elle, il devient rapidement « l’idole des jeunes ». Nous sommes en 1961 et la Triumph est à son image : sportive, très à la mode, avec une voix grave !
L’une des voitures actuellement les plus recherchées. Johnny en a fait l’acquisition au milieu des années 60. Il ne sera pourtant pas très délicat avec sa plastique de rêve : il la conduit à l’instinct, ce qui lui vaut quelques passages en carrosserie…
Johnny a toujours eu un faible pour les voitures au cheval cabré. Il a ainsi possédé l’une des meilleures Ferrari de tous les temps. Le V12 de 3,3 litres pouvait développer jusqu’à 300 chevaux à 8.000 tr/min !
Preuve que Johnny était authentiquement passionné par les voitures, il a fait l’acquisition de cette Iso en 1965. Dotée d’un gros V8 américain, cette voiture italienne se présentait comme une rivale aux traditionnelles Ferrari et Aston Martin, mais elle était nettement moins connue. Achetée neuve, cette voiture était la deuxième produite sur une série de douze modèles produits…
LA supercar des années 60. Forcément, Johnny ne pouvait passer à côté ! Voiture d’exception, brisant tous les codes avec son V12 de 350 chevaux placé en position centrale arrière, la Miura reste une œuvre sublime, aujourd’hui encore. Johnny a acheté la première Miura neuve livrée en France, la treizième produite, de couleur blanche. Il a frôlé la mort avec, percutant un arbre à très vive allure. Il racheta un deuxième exemplaire, noir ce coup-ci, peu de temps après.
Formidable coup de marketing que celui d’Henry Chemin, président de Ford France, engageant Johnny au rallye du Monte Carlo au volant d’une Ford Mustang 390 GT, en 1967. On se souviendra notamment d’un improbable reportage télé, Johnny s’entrainant avec la Mustang sur route ouverte, moniteur de conduite à ses côtés avec une clope au bec et un chrono entre les mains, un journaliste avec caméra à l’arrière s’agrippant tant bien que mal aux sièges. Le tout, évidemment, sans ceinture et en dépassant les « usagers civils »… Autre époque !
Au milieu de toutes ces sportives, Johnny possédait également quelques voitures familiales. Il posséda ainsi la plus formidable routière française de tous les temps, la DS. Cette DS21 est pourtant associée à un drame : celui de l’accident du 20 février 1970 où Sylvie Vartan, son épouse de l’époque et passager avant, sera défigurée.
Le démon de la vitesse n’a jamais quitté la star du rock qui n’aura de cesse de peaufiner son pilotage. Ainsi, il prendra des cours de pilotage au volant d’une 935 de course, préparée par Jean-Marie Almeras.
Dans les années 80, La Testarossa est la nouvelle idole des jeunes. Johnny, fasciné par l’exemplaire de l’un de ses amis, court chez le concessionnaire le plus proche pour commander le même modèle !
Au début des années 90, Johnny prend livraison de l’une des meilleures GT de tous les temps : la 928 GT. Certes, cette voiture n’était plus très à la mode, mais cette version GT méritait le détour : boîte manuelle à rapports courts, suspensions préparées, moteur porté à 330 chevaux…
Probablement fasciné par le look néo-rétro de la chose rappelant la fabuleuse GT40 des années 60, Johnny fait l’acquisition d’une Ford GT au début des années 2000. Elle sera bleue nuit, avec bandes blanches et immatriculée au Luxembourg.
Johnny, c’est aussi le rêve américain traduit pour les Français. C’est donc aussi, les grosses Harley-Davidson et les immenses 4x4 yankee. C’est donc forcément un Hummer…
Pour se déplacer dans sa maison de Los Angeles, Johnny s’était porté acquéreur d’une Rolls-Royce cabriolet, d’un bleu électrique. Dans les années 60, Johnny avait déjà acheté une Rolls-Royce, une Silver Cloud.
A Los Angeles toujours, Johnny se déplaçait de temps à autres avec son hot-rod, soit cette improbable machine rappelant les voitures des années 30, mais dotée d’un gros V8 à l’avant et d’un échappement quasi libre…
C’était il y a un an. Johnny s’était fait plaisir avec la voiture de ses rêves : une AC Cobra 427. Un monstre hypnotique et délirant, doté d’un V8 de 7 litres de cylindrée.
Voilà l’explication de la croissance généreuse du SUV Countryman chez Mini lors de son changement de génération. Mini lui offre ce petit frère électrique : le crossover Aceman.
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