Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Il faudra néanmoins attendre 4 années avant que Rootes ne lève le voile sur sa riposte : l’Hillman Imp, commercialisée en mai 1963. Contrairement à la Mini, elle mise sur une architecture nettement plus traditionnelle : moteur longitudinal arrière, roues arrière motrices. Toutefois, les originalités techniques ne manquent pas : la suspension compte 4 roues indépendantes, la boîte de vitesses est entièrement synchronisée et surtout, le moteur (4 cylindres 875 cm3 de 39 chevaux) est entièrement en aluminium ! Enfin, un détail choc surprend : la lunette arrière s’ouvre sur l’habitacle, un hayon avant l’heure !
Un soufflé qui retombe vite
Dès sa présentation, les choses se présentent assez bien pour le groupe Rootes car l’Hillman Imp se vend bien. Mais trois années plus tard, le groupe déchante : les ventes commencent à fléchir en dépit de l’introduction de deux versions sportives (de 51 et 60 chevaux). Le groupe jette alors toutes ses armes dans la bataille : deux nouvelles carrosseries sont proposées en 1967 (un coupé et un break) et le modèle est commercialisé sous diverses marques du groupe, de Singer à Sunbeam en passant par Commer. Mais rien à faire, les ventes ne sont pas relancées. Même ses exploits sportifs au début des années 70 ne parvinrent à redresser la courbe !
Une triste fin…
En 1976, après 13 années de production et moins d’un demi-million d’exemplaires produits, l’Hillman Imp est retirée du catalogue. Les investissements colossaux pour ce modèle ont précipité la chute du groupe Rootes, déjà largement affaibli par les conflits sociaux. En 1971, le groupe disparaitra d’ailleurs au sein du géant Chrysler.
Ce qu’il faut savoir :
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