Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
La rareté crée souvent le rêve… Un rêve qui, dans ce cas, se fait tantôt câlin, tantôt rageur ! Un badge prestigieux, qui inspire la noblesse et… l’espionnage, un carrossier mythique, qui fleure bon l’Italie prospère et de bon goût et, enfin, un moteur imposant. Il n’en faut pas plus pour créer un mythe : dès le badge, tout est dit !
V12 hurlant !
Le cœur de toute sportive, c’est bien évidemment le moteur. L’esthète ne sera pas déçu ce coup-ci, même s’il faut reconnaître que ce bon vieux V12, on commence à le connaître : il équipe la quasi-totalité de la gamme Aston ! Douze cylindres, donc, une cylindrée de six litres et une puissance de 517 chevaux pour un couple de 570 Nm. Des chiffres qui en imposent, mais, rapporté à la cylindrée, il n’y a toutefois rien d’extraordinaire : des petites citadines font même nettement mieux ! Tant pis pour le raffinement et la haute technologie, le panache des douze cylindres suffira !
Hélas…
Trois fois hélas… Seuls quelques heureux élus pourront un jour connaître le bonheur d’une étreinte sensuelle avec la belle. Ses traits charismatiques, sa puissance suggérée, sa sonorité délicieuse, ils ne seront que 150 à les savourer, production limitée oblige… Et ces quelques « Happy few » auront un portefeuille bien garni : 330.000 £, hors taxes !
