Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
K4, c’est le nom de la nouvelle berline tricorps aux galbes sportifs qui vient d’être dévoilée par Kia. Pour voir la remplaçante de la Kia Forte américaine en chair et en os, il faudra attendre l’ouverture du salon de New York ce mercredi 27 mars.
Par rapport aux modèles actuels, comme la Ceed ou le SUV Sportage, la K4 (deux lettres à prononcer plutôt à l’anglaise qu’à la française…) se distingue par un design plus anguleux mais aussi par un porte-à-faux arrière impressionnant, des épaules bien marquées et une ceinture de caisse rehaussée qui va se fondre dans l’arête de la malle de coffre. La berline coréenne se démarque aussi par une signature lumineuse inédite, aussi bien à l’avant qu’à l’arrière.
La remplaçante de la Ceed ?
Si la fiche technique du modèle n’est pas encore connue, tout porte à croire que la K4 sera pourvue d’un moteur thermique dont les prestations restent donc à définir. Si elle débarque en Europe, elle pourrait prendre la place de l’actuelle Ceed qui arrive lentement mais sûrement en fin de carrière et qui ne correspond plus aux canons stylistiques de la marque, incarnés par les nouveaux Niro et EV9 notamment. Il y a néanmoins de fortes chances pour que le concept de berline passe à la trappe au profit d’une variante à cinq portes, qui sera vraisemblablement déclinée en différentes versions dont un break.
Un habitacle dépouillé
Sur les photos dévoilées par la marque, on remarque un habitacle plutôt conventionnel, aux lignes tendues et au mobilier dépouillé, même si quelques interrupteurs demeurent. Kia a donc choisi de ne pas recourir au tout-à-l’écran cher à certains concurrents. La planche de bord, dans sa partie supérieure, a droit à deux écrans, séparés par une section dédiée à la climatisation. Kia a aussi opté pour un volant ne comptant que deux branches, elles-mêmes dominées par quelques commandes physiques. Enfin, la sellerie se voit tendue d’un textile kaki qui recouvre aussi le volant et les contreportes. Une sobriété qui rappellerait presque l’ambiance qui règne au sein de certains habitacles allemands.
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