Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Avec 325 chevaux sous le pied droit, l’Insignia OPC est la plus puissante de toutes les Opel. La voilà qui se rebiffe et entend confirmer ses prétentions de sportive ! Si la mécanique reste identique, le style et le comportement évoluent.
Revue de détails
OPC ou pas, l’Insignia est une réussite esthétique. Les designers n’ont donc pas chamboulé leur top modèle et lui ont réservé un traitement assez modeste, comprenant des faces avant et arrière relookées, voulues plus dynamiques.
Sous la robe, relevons le châssis retravaillé et notamment, le train arrière profondément revu : Opel annonce 60 % de nouveaux composants. Outre un filtrage sonore et vibratoire amélioré, le constructeur précise avoir rendu sa voiture plus dynamique, avec un sous-virage atténué.
Côté performances, rien de neuf sous le soleil : les 325 chevaux déboulent sur les 4 roues via une boîte manuelle ou automatique. Dans le premier cas, le 0 à 100 km/h est expédié en 6 secondes et la vitesse de pointe atteint 250 ou 270 km/h (Unlimited Pack).
Parce qu’il s’agit d’une sportive, Opel soigne l’instrumentation, qui reprend désormais des informations relatives à la mécanique : pression et température d’huile, charge de la batterie, position de l’accélérateur, force de freinage, « G » d’accélération latérale subis… La présentation, elle, se veut nettement plus moderne !
Présentée au salon de Francfort, l’Insignia OPC sera toujours disponible en version berline ou break (Sports Tourer)
