Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Au début des années 2000, Opel tente de donner un vrai coup de jeune à sa marque. L’état-major de la marque pense alors à un roadster ludique et très sommaire, à l’image d’une certaine Lotus Elise. Le projet validé, c’est justement cette dernière qui partagera sa plateforme et… sa chaîne de production ! Lors de son lancement en 2001, l’Opel Speedster ne passe pas inaperçue : sa silhouette explicite et ses prestations sont saluées par la presse !
Techniquement parlant, si le châssis en aluminium est directement repris de la Lotus, le moteur provient des étagères de la marque. En l’occurrence, on retrouve un 4 cylindres essence de 2.2 l et 147 ch. Une mécanique suffisante et forte en couple, qui sera bientôt épaulée par un plus explosif 4 cylindres turbo de 200 ch ! Ainsi armée, et accusant environ 900 kg sur la balance, la Speedster explosait le 0 à 100 km/h en moins de 5 s !
Sur papier, tout allait bien. Mais dans les faits, il en allait différemment : les concessionnaires Opel, plutôt habitués aux sages berlines, ne savaient pas trop comment vendre une voiture aussi atypique… Et, surtout, la Lotus Elise, pourtant plus chère, profitait d’une image bien plus suggestive ! En 2005, Opel arrête alors déjà la production, après moins de 7.200 exemplaires produits… dont moins de 2.000 versions Turbo.
