BMW
En prime d’un look rafraichi, la BMW i4 gagne une nouvelle motorisation xDrive40 forte de 295 kW (401 ch) et 548 km d’autonomie à l’occasion de ce facelift.
Il y a quelques jours, Renault a dévoilé un nouveau modèle au sein de sa gamme : l’Austral. Un véhicule surélevé du segment C, qui vient s’intercaler entre le Koleos (en fin de carrière) et le Kadjar. En attendant l’arrivée d’un SUV aux proportions plus généreuses, à même d’accueillir sept passagers (dont la sortie est prévue en 2023), l’Austral fait office de porte-étendard dans la catégorie des modèles polyvalents et haut-perchés arborant le célèbre losange.
Outre l’essai détaillé de l’Austral, mis en ligne le 11 octobre dernier, nous vous proposons de découvrir à présent les secrets de ce SUV inédit, dénichés à l’occasion de son lancement dans la région de Ségovie en Espagne.
1. Ne dites plus accoudoir !
L’Austral, qui s’inscrit dans une démarche de qualité particulièrement poussée, à l’image de la nouvelle Mégane E-Tech, a reçu un élément qui en interpellera plus d’un lorsqu’on pénètre dans son habitacle : un repose-main coulissant (proposé sur les modèles à boîte de vitesses automatique). Un accessoire qui se révèle bien utile puisqu’il permet d’utiliser l’écran multimédia plus confortablement, la main du conducteur (ou celle du passager) bénéficiant d’un support pour se stabiliser. Olivier Albrieux, expert en qualité perçue chez Renault, a rendu le coulissement de ce repose-main plus attrayant grâce à un crantage doublé d’un son dédié, inspiré du monde de l’horlogerie ! Bref, ça sonne tout sauf toc !
2. Après le coq, le drapeau tricolore
Pour sa Mégane E-Tech, Renault a décidé de signer le pare-brise d’un coq stylisé qui a été intégré à l’émaillage de la vitre, côté conducteur. De quoi rappeler que celle-ci a été conçue et est assemblée en France. Point de coq pour l’Austral (puisqu’elle est assemblée en Espagne) mais, comme le fait Volvo depuis une dizaine d’années, les sièges avant reçoivent en revanche, à condition d’opter pour la finition Esprit Alpine, une petite étiquette bleu-blanc-rouge cousue sur les flancs intérieurs.
3. Exit Initale Paris, bonjour Esprit Alpine
Chez Renault, les finitions haut de gamme sont désignées par une appellation spécifique. On se souvient des Safrane et autres Clio Baccara dans les années 1990 (un vocable que Renault ne peut plus utiliser suite à un litige avec la Cristallerie éponyme) ou des Talisman et Espace Initiale Paris plus récemment. Avec l’Austral apparaît une nouvelle appellation (qui signe la fin d’Initiale Paris) : Esprit Alpine. Et on ne parle pas ici d’éventuelles options à vocation sportive mais bel et bien d’une finition spécifique qui se distingue des autres grâce à des touches de bleu ci-et-là, un habillage mêlant carbone et bois, ou encore une sellerie mêlant Alcantara et textile technique.
4. Une vraie salle de concert
Pour son système d’infodivertissement, l’Austral reçoit une interface développée par Google, à savoir l’OS Android Automotive. C’est, de loin, le système le plus abouti actuellement, d’autant qu’il assure une compatibilité parfaite avec n’importe quel smartphone. En outre, la majorité des applications utilisées au quotidien sur nos smartphones s’y retrouvent, ce qui permet de se passer de ce dernier, au bénéfice de la sécurité. Pour sonoriser tout ce petit monde (dans la version Esprit Alpine), Renault a jeté son dévolu sur une installation développée en collaboration avec Harman & Kardon qui compte 12 haut-parleurs (dont un caisson de basse) pour une puissance totale de 485 watts !
5. Austral pas Australe
Sur le hayon de la malle de coffre, le mot Austral se voit flanqué d’un E stylisé, soit bleu, soit doré. L’occasion de préciser que l’on écrit bel et bien Renault Austral et non pas Australe. Mais pourquoi donc avoir opté pour deux E aux couleurs différentes (indépendamment du ton retenu pour la carrosserie) ? Tout simplement car le E bleu vous informe que vous êtes face à une Austral E-Tech Esprit Alpine et le E doré face à une Austral E-Tech classique.
6. Pas de diesel, pas de 4x4
En quête d’un SUV diesel doté de quatre roues motrices ? Passez votre chemin, l’Austral n’est alors pas faite pour vous ! En effet, le modèle ne sera proposé qu’avec des motorisations combinant essence et électricité, déclinées en E-Tech Full Hybrid (200 ch), en Mild Hybrid Advanced (130 ch) et en Mild Hybrid (160 ch). Oubliée aussi la traction intégrale proposée sur le Koleos puisque l’Australe ne sera disponible qu’avec deux roues motrices.
7. Elle braque comme une citadine !
Excellente machine à voyager, grâce à une insonorisation soignée et un amortissement du meilleur cru, l’Austral est également à l’aise en ville. Les citadins apprécieront notamment son rayon de braquage record : 10,1 m de trottoir à trottoir, du jamais vu pour un SUV de ce gabarit ! Une belle performance que l’Austral doit à son système 4Control Advanced, à savoir quatre roues directrices (les roues arrière peuvent elles aussi pivoter jusqu’à 5°).
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