Bugatti
La remplaçante de la Chiron a été surprise pour la première fois sous un camouflage pour le moins coloré.
Fiat Multipla (1998-2010)
Dès sa sortie, la Multipla a été ridiculisée et vue comme le “vilain petit canard” de la marque. Sa forme bizarre avait pourtant des avantages : la carrosserie large du Multipla permettait d’en faire une voiture 3+3 places. Il y avait en effet à l’avant de l’espace pour caser trois sièges de front. En 2010, Fiat a tenté de rendre le dessin de la carrosserie plus classique avec un lifting.
Opel Ampera (2011-2015)
General Motors voulait faire percer la voiture électrique avec sa Chevrolet Volt et sa cousine européenne, l’Opel Ampera. Des voitures parfaitement utilisables, puisqu’elles emmenaient 4 personnes à leur bord et offraient 80 km d’autonomie en mode électrique et jusqu’à 500 km avec le moteur à essence faisant office de générateur. Mais la technique était trop coûteuse pour le public. La sauce n’a pas pris, même malgré une grosse baisse du prix en 2013. Finalement, GM aura vendu seulement 10.000 exemplaires de l’Opel Ampera en Europe.
Renault Laguna (2008-2015)
À l’époque, Renault était enfin parvenu à corriger les problèmes de fiabilité de la précédente Laguna. Cette troisième génération du modèle était, elle, une voiture fiable. Elle était aussi équipée de moteurs diesel silencieux et sobres, offrait une bonne finition et une excellente tenue de route. Mais la crise économique, la baisse de la demande pour les grandes familiales de marques généralistes et son look particulier ont joué en sa défaveur. Mais Renault lancera bientôt le successeur du modèle, qu’il a rebaptisé Talisman.
Audi A2 (1999-2005)
C’est le bel exemple d’une voiture qui était trop en avance sur son temps. Ce petit monovolume disposait de technologies impressionnantes pour le segment, comme par exemple une carrosserie en aluminium et un petit tricylindre TDI très sobre. Mais côté défauts, on notait un tarif excessif, des plastiques intérieurs basiques et une suspension ferme.
Mercedes Classe R (2005-2013)
Avec le grand sports tourer Classe R, Mercedes a lancé un nouveau concept : un modèle situé entre le monospace et le tout terrain. Un engin confortable, spacieux et bien fini, mais aussi assez difficile à situer sur le marché, cher à l’achat, plutôt disgracieux et lourd à conduire. Le modèle fut un échec, c’est pourquoi Mercedes a décidé de ne pas lui donner de successeur.
