Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Avec cette nouvelle génération de moteurs, Mercedes entend s’attaquer directement à son rival de toujours, à savoir BMW. Si ce dernier a étonné l’industrie automobile avec son 4 cylindres 2 l diesel décliné en trois variantes de puissance, Mercedes lui emboîte le pas avec un 2.2 l entièrement nouveau et également proposé avec trois puissances différentes. Cette nouvelle unité sera disponible dans un premier temps sous le capot de la Classe C.
Pour rendre ses moteurs plus performants et plus écologiques, Mercedes a sorti l’arsenal complet des technologies modernes : suralimentation à deux étages, bielles allégées, frictions internes diminuées, pression de la rampe commune d’injection augmentée à 2.000 bars (soit 400 de plus qu’auparavant), pompe à eau débrayable, volant moteur bimasse,…
La variante la plus puissante (appelées C 250 CDI) donne 204 chevaux (soit exactement la même puissance que le moteur BMW) et un couple de 500 Nm ! Face à la variante précédente, cela fait une augmentation de 20 % de la puissance et de 25 % du couple ! Quant à la consommation, elle est en baisse (5,4 l/100 km au lieu de 5,9 l/100km) et permet des émissions de CO2 en diminution de 13 %. La C 220 CDI (5,1 l/100 km) fournit toujours 170 chevaux entre 3.200 et 4.800 tr/min et 400 Nm entre 1.400 et 2.800 tr/min. Enfin, la C 200 CDI est donnée pour 136 chevaux entre 3.000 et 4.600 tr/min et 330 Nm entre 1.600 et 2.800 tr/min. A noter que ces moteurs disposent d’une plage d’utilisation particulièrement large.
Ces motorisations seront disponibles cette année encore. Les autres modèles de la gamme en disposeront par la suite, l’utilitaire Sprinter inclus.
