Volkswagen
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Aujourd’hui, la gamme de coupés du constructeur japonais se limite à la GT86, mais dans les années 90, elle était plus large : on trouvait les MR, Celica, Supra et… cette Paseo.
L’histoire de la Paseo débute en 1991. Toyota lance alors sur le marché un coupé qui partage ses fondations avec la Tercel, un modèle principalement vendu en Amérique du Nord et qui était alors une alternative économique à la Corolla.
Ce coupé, à 2+2 places (2 places à l’avant et deux sièges d’appoint à l’arrière), a été baptisé Paseo et est animé par un moteur 1.5 litre atmosphérique à 4 cylindres, qui délivre une puissance de 110 ch et un couple de 123 Nm. Ce moteur est accouplé à une boîte manuelle à 5 rapports ou à une unité automatique à 4 vitesses.
La première génération de Paseo n’a été vendue qu’en Amérique du Nord, en Grande-Bretagne et en Australie. Il faut attendre 1996, lorsque sort la nouvelle Paseo, pour que le modèle débarque chez nous. Cette deuxième génération connaissait surtout des changements esthétiques, mais la technique restait pratiquement identique à celle de l’ancienne. Un cabriolet sortira également, mais pas chez nous.
Suite au durcissement des normes antipollution américaines, le 4 cylindres perdait en puissance. Cette nouvelle génération du 1.5 litre chutait de 100 à 90 ch. Le couple, lui, augmentait légèrement, pour pointer à 130 Nm. Pas de changement côté boîte de vitesses, avec de nouveau le choix entre 5 rapports manuels ou 4 automatiques.
Cette Paseo n’était pas du genre sportive, sûrement pas en comparaison d’une Supra ni même d’une Celica, deux modèles disponibles également à l’époque dans la gamme Toyota. Le sage petit coupé passait de 0 à 100 km/h en 10,9 secondes et pointait à 185 km/h. Le design était lui aussi très sage et pas vraiment exotique. La production de la Paseo a cessé en 1999.
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