Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Le magazine britannique Autocar a pu avoir une conversation avec le directeur commercial de Ferrari, Enrico Galliera, sur l'avenir électrique de la marque. Selon la rumeur, Ferrari lancerait en 2025 sa toute première voiture entièrement électrique qui, selon des images de brevets ayant fait l'objet d'une fuite, utiliserait un moteur électrique compact par roue.
Enrico Gallieri n'a pas tout de suite semblé vouloir confirmer ces rumeurs : "Nous croyons fermement que la technologie des batteries n'est pas encore suffisamment développée pour répondre aux exigences d'une supercar. Nous ne pensons pas que cette technologie pourra répondre aux besoins de Ferrari dans les cinq prochaines années".
Évolution
Cela ne veut pas dire que les Italiens ne s'intéressent pas aux VE : "Une fois que la technologie aura suffisamment évolué pour que nous puissions fabriquer une voiture qui corresponde à notre position, pourquoi pas ? Mais cette technologie est l'élément clé : nous n'allons pas seulement construire une Ferrari électrique".
De plus, M. Gallieri estime qu'un tel modèle doit apporter quelque chose de neuf et d'innovant. Cela fait partie de l'ADN de la marque. Et qu'en est-il de la sonorité du moteur, les V12 et V8 frappés du cheval cabré ayant bâti, en partie, la légende de la marque ? "Nous y travaillons dur, mais je ne dirais pas que nous avons déjà trouvé une solution. Lorsque Ferrari proposera cette technologie, nous aurons également une réponse à cette question, et je vous promets que ce sera une réponse élégante".
