BMW
En prime d’un look rafraichi, la BMW i4 gagne une nouvelle motorisation xDrive40 forte de 295 kW (401 ch) et 548 km d’autonomie à l’occasion de ce facelift.
En cette fin 2020, les fédérations Febiac, Traxio et Renta, représentant le secteur automobile en Belgique, dressent un bilan de cette année marquée indiscutablement par la crise du coronavirus. Voici, en résumé, 5 constats importants dressés par ces fédérations officielles.
1. Les immatriculations de voitures neuves enregistrent une chute sévère
Avec quelque 425.000 immatriculations de voitures neuves, l’année 2020 enregistre les chiffres les plus bas depuis plus de 20 ans. Le marché est en baisse de l’ordre de 20 % par rapport à l’an dernier.
2. Le marché de l’occasion limite la casse
Le marché de l’automobile d’occasion limite son recul à seulement 6 % par rapport à l’an dernier. Le nombre de voitures d’occasion immatriculées de juin à octobre 2020 est même supérieur à celui de la même période l’an dernier.
3. Le Belge continue de se déplacer et privilégie plus que jamais les solutions de mobilité individuelles
La diminution du nombre de kilomètres parcourus en raison de la réduction des activités a eu un impact négatif sur l’industrie (moins d’entretiens, moins de réparations, etc.). Mais les déplacements, motorisés ou non, effectués dans le cadre des loisirs restent très nombreux. Le vélo est incontestablement le grand gagnant de la crise du coronavirus, et en particulier la variante à assistance électrique.
4. Les hybrides ont la cote, le diesel se maintient
La part de marché des voitures électriques a pratiquement doublé et est passée de 1,5% à 2019 à 2,9% en 2020. Celle des voitures hybrides a progressé de façon encore plus marquée, passant de 4,6% à 9,5%. Notons que ce sont surtout les hybrides rechargeables qui ont le vent en poupe. Enfin, relevons également que la « chute » du diesel semble s’être arrêtée. Les moteurs diesel représentent cette année 33% du marché contre 31% en 2019.
