BMW
En prime d’un look rafraichi, la BMW i4 gagne une nouvelle motorisation xDrive40 forte de 295 kW (401 ch) et 548 km d’autonomie à l’occasion de ce facelift.
Selon Automotive News Europe, le tribunal de Mannheim, en Allemagne, a donné raison au Finlandais Nokia dans un litige portant sur des brevets relatifs à la technologie mobile. Daimler devrait, en principe, payer des droits de licence à Nokia. Pourquoi? Parce qu'elle utilise dans ses véhicules, une technologie de connectivité qui dépend fortement des inventions de la société finlandaise.
Nokia pourrait aller jusqu’à demander à Daimler de cesser de vendre des voitures ! Toutefois, le Finlandais a du déposer une garantie de 7 milliards d'euros, au cas où les Allemands cassent le jugement en appel et demandent des dommages et intérêts. Bref, les Allemands sont à peu près sûrs d’être dans leur droit. Daimler va même plus loin et déclare : "Nous ne comprenons pas le verdict du tribunal de Mannheim et nous ferons appel".
Nokia exige que Daimler paie une redevance pour chaque voiture équipée de sa technologie à l'avenir, mais les Allemands trouvent que le montant demandé est trop élevé. Ils préfèrent plutôt un contrat de licence à prix fixe. Ils ne sont d'ailleurs pas les seuls à se retrouver dans cette situation, car Continental a déjà demandé à la Commission européenne de forcer Nokia à revoir sa stratégie. Nokia a toutefois répondu que BMW et le groupe Volkswagen ont accepté son modèle de licence sans sourciller. Le Finlandais ne voit donc pas où est le problème !En prime d’un look rafraichi, la BMW i4 gagne une nouvelle motorisation xDrive40 forte de 295 kW (401 ch) et 548 km d’autonomie à l’occasion de ce facelift.
Voilà l’explication de la croissance généreuse du SUV Countryman chez Mini lors de son changement de génération. Mini lui offre ce petit frère électrique : le crossover Aceman.
Ce concept de SUV 100 % électrique Volkswagen ID. Code inaugure tout un tas de nouveautés ! Mais des nouveautés destinées uniquement à la Chine…
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !