Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
En 1968, les finances de la firme au trident sont dans le rouge vif. Citroën surprend la planète automobile et décide de racheter la firme ! S’en suivra une collaboration assez houleuse, mais qui donnera naissance à quelques très belles automobiles, dont la Citroën SM, la Maserati Merak et surtout, la fantastique Bora. La dernière « œuvre » de Maserati sous contrôle Citroën n’est toutefois pas une grande réussite : il s’agissait de la deuxième version de la Quattroporte. Ce fut même l’un des plus grands flops de l’histoire automobile !
Présentée en 1973, la Quattroporte deuxième du nom tranchait avec les habitudes. D’abord, il y avait le style : dessinée par le grand Marcello Gandini pour le compte de Bertone, cette voiture présentait une forme peu inspirée. On imagine que le génie italien, notamment responsable de la Lamborghini Miura, n’était pas au meilleur de sa forme. Ensuite, il y avait les dimensions : 5,13 mètres de long, c’était gigantesque en 1973 !
Enfin, ce qui a tué la berline, c’est sa partie technique. Sous le capot, on retrouve le V6 développé pour les SM et Merak : cubant 3 litres, il crachait 210 chevaux dans ses meilleurs jours, ce qui était trop juste pour les 1.600 kg de la berline… à vide ! De plus, il transmettait sa puissance aux roues… avant, une hérésie pour une berline de si haut de gamme, qui plus est ornée du trident ! L’influence Citroën ne s’arrêta pas là, car on y trouvait aussi une suspension hydraulique…
En ce milieu des années 70, rien ne va plus : Citroën et Maserati ne parviennent plus à s’entendre, les caisses sont vides, Peugeot finit par racheter la marque aux chevrons et pour couronner le tout, la crise pétrolière assassine les voitures gourmandes ! C’en est fini de l’aventure, Maserati est mise en faillite avant d’être rachetée par Alejandro de Tomaso et la Quattroporte II se voit abandonnée après… 13 exemplaires !Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
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