Tesla
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On parle beaucoup des avantages fiscaux des hybrides plug-in. Mais de quelle technique s’agit-il et quelle différence avec un micro-hybride et un hybride « autorechargeable » ? On refait le point.
Les véhicules hybrides sont un peu à voile et à vapeur : ils associent carburant fossile (essence ou diesel) et électricité. On les classe habituellement en trois familles : « micro-hybride » (MHEV, pour Mild Hybrid Electric Vehicle), « full hybride » (HEV, pour Hybrid Electric Vehicle, appelé aussi hybride « autorechargeable ») et hybride à batterie rechargeable sur secteur (PHEV, pour Plug-in Hybrid Electric Vehicle).
L’hybridation légère (MHEV) prend la forme d’un alterno-démarreur avec fonction « boost », alimenté par un réseau électrique de 12 ou 48 Volts. L’alterno-démarreur (qui assure donc les fonctions de démarreur et d’alternateur) est couplé à une batterie de petite capacité. L’énergie dissipée lors des décélérations/freinages est transformée en électricité, qui est accumulée dans cette batterie et est ensuite restituée pour donner un coup de « boost » (entre 5 et 15 chevaux maximum habituellement) au moteur thermique lors des reprises et accélérations. Mais un « micro-hybride » ne peut normalement pas rouler en mode électrique pur (sauf en manœuvre et sous très faible accélération pour certains modèles comme le Mercedes GLC ou la Ford Focus EcoBoost par exemple).
Ici, le moteur électrique est nettement plus puissant (entre 50 et 100 ch habituellement) et est associé à une batterie plus grosse, ce qui lui permet d’animer momentanément seul la voiture (à condition de ne pas accélérer trop fort), afin de réduire la consommation de carburant fossile et donc les émissions de CO2.
L’électricité utilisée est produite par le moteur thermique et par récupération de l’énergie au freinage. Mais la batterie ne peut ici pas être rechargée sur une prise de courant ou une borne. Toyota et Lexus, pionniers du full hybride, parlent d’ailleurs d’hybrides « autorechargeables », pour souligner que l’utilisateur ne doit rien faire pour recharger la batterie.
Un hybride plug-in se distingue par sa batterie encore plus grosse, offrant donc une plus grande autonomie en mode électrique (de 40 à 50 km en moyenne, mais jusqu’à 100 km théoriques chez Mercedes ou Land Rover notamment) et pouvant également être rechargée sur une prise de courant ou une borne.
Bien utilisés (en rechargeant le plus souvent possible la batterie sur une prise), les hybrides plug-in consomment très peu de carburant fossile et émettent donc très peu de CO2. Certains de ces modèles (principalement ceux émettant moins de 50 g de CO2/km) donnent également droit à une fiscalité très avantageuse pour les indépendants et sociétés qui déduisent le véhicule en frais professionnels.
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