Citroën DS3, Alfa MiTo, Audi A1 : voilà que le règne de la Mini sur le marché des compactes premium vacille dangereusement. La concurrence s’est retroussée les manches et vient désormais marcher sur les plates-bandes de la Reine Mini ! Fini la rigolade, il était donc urgent de réagir !
Dilemme !
Voici le topo : il faut réaffirmer la place de la Mini au sein de son segment ! En clair, faire reparler d’elle via quelques modifications ! Oui, mais voilà : la Mini est un mythe au dessin immuable, ce qui ne facilite naturellement pas les grands chamboulements ! Ainsi donc, c’est le pare-chocs avant qui est remanié (histoire d’adoucir les chocs inopportuns avec les piétons), les feux arrière font appel aux LED, on note quelques nouvelles teintes et des jantes au dessin revus !
Nouveaux diesels !
C’est principalement sous le capot que les modifications sont notables ! Ainsi, les versions mazoutées font appel à un tout nouveau moteur, d’une cylindrée toutefois identique de 1,6 l. Les puissances sont globalement similaires : 90 chevaux pour la One D et 112 chevaux pour les Cooper D. Mais les consommations et émissions tombent : 3,8 l/100 km, soit 99 g/km pour les émissions de CO2 ! Rouler chic rime aussi avec rouler propre !
Extension de la gamme !
Pour couvrir une clientèle plus large, Mini installe le plus petit diesel (One D) sous le capot de la Clubman et le plus gros diesel (Cooper D) sous le capot du… cabriolet ! Une grande première pour la marque !
Dans le détail
Mini peaufine les commandes de climatisation et du système stéréo. Question pratique, on progresse également avec un cache bagages plus pratique et quelques nouvelles options, comme des connexions USB, Bluetooth et j’en passe…