Une nouvelle loi du Président américain Donald Trump prévoit que les bénéfices réalisés à l’étranger par des sociétés américaines soient moins taxés lorsqu’ils sont rapatriés aux USA. Voilà qui est intéressant pour Apple. Citigroup a calculé qu’il resterait alors à Apple un trésor de guerre de plus de 250 milliards de dollars.
Ça dépend de l’iPhone
Bien que le géant de l’électronique ait conquis le monde, il commence à devenir dépendant de l’iPhone. Depuis un certain temps, la marque n’a plus osé prendre de risques avec des produits révolutionnaires (comme l’iPhone, justement). Les gadgets qui sont apparus, comme la Smart Watch, n’ont pas obtenu le succès espéré.
Apple-auto mis de côté
L’éventuelle acquisition d’une entreprise qui ose prendre des risques, comme Tesla, apporterait donc un coup de frais à Apple. D’autant qu’Apple a mis de côté son projet de voiture autonome, qui est justement une spécialité du constructeur automobile californien Tesla.
En bonne compagnie
D’après Citigroup, Tesla n’est pas la seule compagnie qu’Apple pourrait racheter. La banque a aussi calculé que des grands noms de l’industrie du divertissement seraient aussi intéressants, comme Netflix et Disney, de même que des développeurs de logiciels, comme Activision Blizzard, Electronic Arts et Take Two Interactive. Selon Citigroup, toutes ces sociétés répondent aux critères d’une potentielle reprise.
Préférence pour les start-up
Apple va-t-il donc reprendre Tesla ? D’après les analystes, un tel scénario n’est pas crédible. Le géant de l’électronique aurait plutôt une préférence pour l’acquisition de petites start-up et Tesla serait devenu trop gros. De plus, malgré ses objectifs ambitieux, Tesla parvient à peine à faire des bénéfices. Enfin, il y a les propos d’Elon Musk, le patron de Tesla, qui a déclaré : « je ne pense pas qu’ils veulent cela. Je n’ai de toute façon pas reçu d’indication dans ce sens ».