Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
C’était en 2009 : Renault dévoilait son concept Zoé Z.E.. Une citadine électrique « révolutionnaire » pour l’époque. Un modèle arrivé ensuite sur le marché en 2012 avant de jouir d’une première évolution technique en 2016. La seconde évolution technique est maintenant programmée pour la fin de cette année 2019.
1. 150.000 immatriculations
À la fin du mois de mai 2019, la Zoé affichait plus de 150.000 immatriculations depuis le début de sa carrière. Pour un modèle du segment B, cela reste bien sûr très confidentiel pour une carrière commerciale longue de 8 ans. Mais pour une voiture électrique, ce chiffre reste tout de même honorable… Ses ventes cumulées en font d'ailleurs toujours le véhicule électrique le plus représenté sur les routes européennes pour le moment.
2. 1 sur 5
Après un départ commercial plutôt confidentiel, la Zoé a vu ses ventes s’accélérer progressivement. Sur la seule année 2018, Renault en a ainsi vendu près de 40.000 sur les 150.000 unités commercialisées depuis le lancement du modèle en 2012. En 2018, la Zoé représentait quasiment 1 voiture électrique vendue sur 5 en Europe (18,7 % du marché électrique). Elle était en outre numéro un des ventes électriques en Allemagne, en Espagne et en France. Sur son marché, la Française atteignait même 54,9 % de parts de marché de l'électrique pour 2018.
3. 4 milliards de km
La flotte de Zoé en circulation a totalisé plus de 4 milliards de kilomètres. Ce qui représente plus de 10 400 trajets « Terre-Lune » sans émettre directement le moindre gramme de CO2 à l’usage.
4. 153% d’autonomie en plus !
Lors de son lancement fin 2012, la Zoé disposait d’une batterie de 22 kWh qui lui assurait environ 150 km d’autonomie réelle. En 2016, Renault proposait la possibilité d’opter pour une batterie de 41 kWh afin de doubler l’autonomie et atteindre les 300 km en usage réel. Le travail s’était alors concentré sur la chimie lithium-ion pour améliorer la densité de la batterie. Pour la nouvelle génération attendue en fin d’année, les ingénieurs se sont cette fois focalisés sur l’architecture de la batterie et les différents aspects de sa conception. De quoi atteindre une capacité de 52 kWh dans un volume toujours identique. L’autonomie progressera alors encore jusqu’à 380 km. Soit une augmentation de plus de 150 % en 8 ans.
