BMW
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Après les 5 secrets de la Citroën 2 CV, de la Fiat Nuova 500, de la Mini classique, de la VW Golf , de la Porsche 911 ,de la Ferrari 250 GTO , de la Mercedes 300 SL, de la Lamborghini Countach, du Range Rover, de la Renault 4 , de la Ferrari Testarossa , de la McLaren F1, de la Citroën DS, de la Jaguar Type E , de la Volkswagen Coccinelle, de la Willys MB et de la Citroën Traction, continuons notre petite série en nous penchant cette fois sur 5 « secrets » d’une autre icône automobile : la Peugeot 205 !
Le premier prototype annonciateur remonte à... 1977 ! Baptisé M24, ce dernier préfigure dans les grandes lignes la 205. Il faut dire que la tâche est immense : Peugeot doit remplacer la 104 par un modèle qui va le sauver financièrement. Autant dire que le travail ne fut pas bâclé !
Au début des années 80, Peugeot se retrouve dans une situation financière délicate. Quelques experts pensent d’ailleurs que la marque ne se remettra jamais et que la mise en liquidation ne saurait tarder... Ultime espoir de la marque : la nouvelle 205, présentée en 1982. Et immédiatement, c’est un succès fou, bien au-delà des prévisions, la petite citadine devenant la voiture la plus vendue de France en 1984 et 1985. En 16 années de production, ce sont plus de 5,2 millions d’exemplaires qui furent produits. La 205 a sauvé Peugeot.
Peugeot a décliné sa petite 205 en une impressionnante quantité de dérivés, qui vont de la fourgonnette au cabriolet, en passant par les versions à 3 et 5 portes. Du côté des sportives, la palette des variantes est également large, avec les XS, Rallye, GTI et Turbo 16 ! Cette dernière servit à l’homologation en groupe B d’un modèle de compétition (qui permit à Peugeot de rafler le titre de champion du monde des rallyes en 1985 et 1986 !) et différait complètement de la 205 de série : moteur central arrière, 200 chevaux et transmission intégrale ! Mais il s’agit encore d’une toute autre histoire...
En 1983, les petites citadines sont encore à grande majorité animées par des moteurs essence. Peugeot se lance toutefois dans une voie assez peu fréquentée, celle du diesel ! Et là encore, c’est le succès. Il faut dire que le moteur mazouté est réussi, proposant des performances équivalentes à celles des moteurs essence, mais avec une consommation très réduite.
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